Moi, je suis une jeune fille sérieuse et honnête.

Je veux mener ma vie dans la droiture, dans le respect de ma personne.

Plus tard j'aurais un mari que je respecterait et qui m'aimera.

Mais actuellement, je vis avec mes parents et mon frère.

Et cela ne se passe pas bien du tout. 

Mon frère a de nombreuses conquêtes qu'il ne se gêne pas pour amener à la maison pour des coucheries bruyantes qui nous gênent mes parents et moi. 

Il y a pire que ça encore. Lorsqu'il n'a pas de filles à disposition, c'est dans ma chambre que mon salaud de frère vient prendre son plaisir et se soulager les bourses.

Mes parents le savent mais n'osent rien dire.  

Cet après midi, il entre sans gène dans ma chambre avec un total inconnu qui me jauge avec un regard salace. 

Mon frère et l'homme me déshabillent entièrement et se mettent nus. 

Je dois me mettre à genoux et prendre leurs sexe dans ma bouche. 

Le frère, vaut mieux pas le contrarier, sinon, il se met en colère et mes parents n'aiment pas ça.

Mon ordure de frère m'entraîne vers le canapé. 

Pendant que je dois sucer la grosse bite de l'inconnu, il pénètre brutalement mon anus que je ne parviens pas à garder fermé. 

Il me fait mal, mais je me laisse ramoner entre mes fesses. 

Les deux baiseurs changent de place au bout d'un moment.

Je dois pomper le dard de mon frangin pendant que l'autre gars va et vient avec sa bite dans mon petit cul douloureux.

Je commence à trouver ça bon. Malgrès moi, je dois bien le dire !

Je sens parfaitement la tige aller et venir dans mon fion. 

L'autre gars se retire à un moment pour regarder le résultat de son travail entre mes fesses. 

Je ne sais pas combien de temps je me fait enculer alternativement par l'un et l'autre.

Je n'ai plus de notion des choses. 

J'ai honte de prendre un certain plaisir à me faire mettre ainsi par mon propre frère, et un homme inconnu qui profite de la bonne occasion pour tirer son coup avec une gamine appétissante. 

Ils me contraignent à avaler leur sperme en me forçant à remettre dans ma bouche le jus épais qui coule sur mon visage.

Lorsque les deux salauds ont bien profité de moi, ils sortent de ma chambre et vont boire un verre dans la cuisine en rigolant. 

Mes parents, eux, font comme s'il ne s'était rien passé pour garder leur tranquilité.

Comme d'habitude !