Je suis une jeune religieuse à l'esprit tourmenté.

Je suis une soeur en proie aux affres terrifiantes du sexe, de la tentation de la relation interdite avec l'homme...

Si monsieur l'abbé ou la mère sépérieure savaient,ou les autres soeurs, ils seraient très fachés contre moi.

Mais ce n'est pas de ma faute si j'ai pêché avec ce paroissien, c'est le diable qui s'est emparé de mon corps de maudite femelle.

l'homme tentateur m'a prise plusieurs fois sur l'autel dans l'église vide.

Il a soulevé mon vêtement de soeur, il a retiré ma culotte et a écarté mes cuisses.

Je n'ai pas pu résister au plaisir de ses mains sur mes seins, je n'ai pas empêchée la pénétration.

Enseinte, j'ai encore envie de sexe, mais l'homme ne vient plus.

Il a peur du qu'en dira-t-on.

Alors je dois cacher le résultat de ma faute, et assourvir comme je peux toute cette jouissance affreuse que mon sexe et mon ventre réclament encore... 

Mon sexe prend trop de place dans ma vie

Mes seins sont tellement gonflés de lait !

Ils me font presque mal...

Je cache mon gros ventre comme je peux.

Je suis si jeune, si soumise à la tentation :

Pardonnez moi !...

Je crois que je vais accepter de me laisser séduire par un autre paroissien.

Ce n'est pas moi qui pêche, mais mon corps de jeune femme si faible face à la tentation de la chair...