Sexe Minette
Si jeunes, déjà salopes !
Du nouveau chaque jour, ou presque...
Janvier 2025 | ||||||||||
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Un jour que j'étais allongée sur mon lit dans le dortoir des filles à écouter de la musique, Grégoire, un des plus beaux mecs de ma classe, entra et ferma la porte à clé derrière lui.
Il vint vers moi et m'embrassa à pleine bouche, en me serrant contre lui.
Il faut dire que nous sortions ensemble depuis deux mois.
Il me caressa à travers ma robe et entreprit de me caresser les seins. Il déboutonna le haut de ma robe, et dégrafa mon soutien-gorge (il s'ouvrait par devant, ce qui est beaucoup plus pratique) afin d'empaumer mon généreux 90C.
Il se pressa entre mes cuisses entr'ouvertes, et finit de déboutonner le restant de ma robe, en repoussant les pans sur les cotés.
Mon string en dentelle rouge commençait à s'humidifier, et la bosse à l'entre-jambes de Grégoire semblait indiquer une excitation terrible.
J'ouvris sa braguette, baissai son pantalon, puis son boxer noir moulant.
Sa queue dressée, le gland rougi d'excitation, ne laissait pas d’ambiguïté sur son désir.
Il m'allongea sur la table, sortit de sa poche une capote, et l'enfila sur sa bite. Il me pénétra en douceur – s'était notre première fois - , en caressant mes seins, et commença à aller et venir en moi.
Sa bite me procurait un plaisir fou.
Et malgré le fait que ce soit ma première pénétration, je ne ressentais aucun mal, aucune douleur.
Des frissons me parcouraient, et Grégoire entama un massage de mon clitoris, avec application, ce qui me fit perdre pied.
Ma tête tournait. Je sentais sa queue en moi, qui me remplissait, me comblait de plaisir.
Il saisit mes hanches, et me donna des coups de reins de plus en plus appuyés, ralentissant parfois, sûrement pour se retenir.
J'étais pas une novice en amour. Je n'avais jamais été déflorée. J'ondulais du bassin.
Ce qui sembla faire frémir mon homme.
Il ahanait, haletait. Je gémissais.
Nous nous retenions de crier, car les autres filles ne devaient pas être très loin à discuter dans le couloir.
Cependant au bout d'un moment de sexe le plaisir fut si grand qu'un cri m'échappa, ce qui parut ravir Grégoire.
Je ne cessais de jouir, la chatte dégoulinante de cyprine, lorsqu'il s'arrêta...
Je le sentis éjaculer.
Dans un râle infini, il jouissait, après m'avoir comblée plusieurs fois. Il se retira, ôta le préservatif, le noua et le jeta.
Il prit des mouchoirs dans un placard du dortoir, pour me nettoyer. Tous ses gestes, tendres et attentionnés, me touchèrent.
Enfin, il me rhabilla délicatement. Il fit de même. Puis il me serra dans ses bras, contre son torse brûlant. Il déposa un baiser sur mon front.
Nous sommes restés ainsi un bon quart d'heure, avant de sortir rejoindre les autres pour aller manger à la cantine.
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