J'ai envie de cette fille.

Je ne la connais pas. Je ne l'avis jamais vue...

Mais je veux la baiser, là, tout de suite, dans les chiottes.

Ca fait toute la soirée que dans cette boîte de nuit de merde, j'essaie de draguer, et pas moyen.

C'est pas qu'elle soit géniale, la gonzesse.

Elle doit puer la cloque et sans doute l'alcool.

Elle a peut être déjà le vagin plein de sperme, car je l'ai vue traîner avec un tas de mec qui on dû la niquer dans les coins.

Mais j'ai trop besoin de baiser une pétasse.

J'ai la queue toute tendue et douloureuse...

Il me la faut, là, maintenant, tout de suite...

Enfin je commence à avoir de la veine.

La pétasse ne dit pas non et s'occupe sans rechigner de ma queue qui n'en pouvait plus d'attendre.

Vite j'enlève son slip avant qu'elle change d'avis.

Elle a une de ces allures de conne, penchée ainsi contre la pissotière !

Une vraie nase, cette abrutie !

A chaque coup de bite dans sa chatte, je me demande si elle ne va pas s'enfoncer la tête dans la vasque, dans le réceptacle à pisse...

Et elle couine comme une truie pendant que je bourre son trou sans manière...

Merde, la salope est plus saoule que je ne le pensais.

La voilà qui se met à pisser par terre en me sucant la queue...

C'est délirant !

Quelle honte pour cette connasse !

Fait vraiment avoir envie de tirer son coup avec une dégueulasse pareille !

Moi, je ne sais pas pourquoi, au bout d'un moment ça m'amuse de l'observer pisser.

Je me mets même à écarter en grand les lèvres de son vagin pour voir la source du jet d'urine.

Sale temps !

Je commence à délirer sérieux.

Je lui pisse dans la bouche.

Et la pétasse qui ne refuse pas mon jet d'urine.

Bien au contraire...

Mieux ou pire, elle en avale.

Elle boit ma pisse encore toute chaude !

La pouffiasse apprécie.

Pétasse de vicelarde !

Si quelqu'un entre dans les chiottes maintenant, on est mal tous les deux en plein délire.

Certain qu'on passera pour deux vicieux dégénérés.

Quelle réputation dans la boîte...

Vient quant même le moment ou je recommence à lui ramoner le minou;

Je pistonne sauvagement son trou de petite pute.

Je la prends par derrière, coincée contre un urinoir.

Je baise comme un dingue.

Je prend mon temps à lui cogner le ventre par son trou de fille saoule.

Lorsque je ne peux plus réssiter je lui crache tout ce que j'ai dans les couilles en pleine gueule.

Voilà une petite salope qui vaut un coup de bite et rien de plus.

Salut pétasse. je ne te dis pas merci.

Et maintenant, casses-toi !

Tu es vraiment une fille trop dégueulasse quant tu es saoule...