Sexe Minette
Si jeunes, déjà salopes !
Du nouveau chaque jour, ou presque...
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Tu ne voudrais pas me faire un câlin ?
J'hésite à mon tour car je sens bien qu'il est en train de se passer quelque chose de pas tout à fait innocent.
Elle se retourne sur le ventre en insistant.
Allez Parrain, fais-moi un câlin sur le dos, les épaules comme tu le faisais avant quand j'étais petite. Tu te souviens ?
Comment veux-tu que je ne m'en souvienne pas ?
Une de mes mains commence doucement à caresser ses épaules où je m'obstine à y rester mais elle insiste pour je descende m'occuper de son dos aussi. Je lui obéis en
descendant progressivement jusqu'à atteindre ses reins. Je me surprends à regretter ce tissu qui m'empêche de sentir directement sa peau sous mes doigts.
Johanna ronronne comme une petite chatte que l'on caresse.
Hummmmmmmmmmmmm. C'est trop bon Parrain.
J'essaie de me concentrer sur le film de la télé quand tout à coup, Johanna se redresse légèrement pour tirer sur son t-shirt et le faire remonter jusque sur ses
épaules. Je me prends une décharge d'adrénaline en découvrant ses fesses à quelques centimètres de ma main.
Elle est vraiment très belle.
Je proteste mais bien trop mollement pour être convaincant :
Mais qu'est-ce que tu fais ? Redescend tout de suite ce t-shirt ou j'arrête de te faire des câlins.
J'essaie de le redescendre moi-même mais elle m'en empêche.
Arrêtes Parrain. On fait rien de mal. On fait juste des câlins. Allez, s'il te plaît. Continue. C'est trop bon.
Je ne sais plus quoi faire, que penser. Ma main reprends les caresses sous les
ronronnements de ma filleule. Je sais bien que tout cela n'est pas une situation normale. C'est en train de déraper mais ai-je vraiment envie que ça s'arrête.
Je me contente néanmoins de dispenser mes caresses sur les épaules, les flancs et dans le creux des reins de ma petite chérie quand à son tour, elle se met à protester.
Mes fesses aussi Parrain. C'est trop bon sur les fesses et puis je sais bien que t'en as envie toi aussi.
Ce n'est malheureusement pas faux. J'abdique donc en commençant à caresser les globes dont la peau frémit au contact de mes doigts. Johanna, pousse un long soupir de satisfaction.
Hummmmmmmmmmmm. Tu fais çà bien mieux que mes petits copains.
Ah bon. Parce qu'il y en a beaucoup, qui t'ont tripoté les fesses ?
Mais non, t'inquiètes pas Parrain. J'me laisse pas tripoter pas n'importe qui mais je ne suis plus vierge si c'est çà que tu veux savoir.
Allons bon. De mieux en mieux. Et tu fais ça souvent ?
J'aime bien mais non, j'fais pas çà souvent parce que j'ai plus personne en ce moment.
On peut pas s'préparer à un concours et puis s'occuper d'un mec. Ils veulent que tu leur consacre de plus en plus de temps et ça me gave.
Mes doigts continuent de lui caresser les fesses et sans m'en rendre compte, sans doute par habitude, ils descendent dans sa raie entre les deux globes, de plus en plus bas vers l'entrée de sa chatte, frôlant à chaque passage son petit œillet serré.
Johanna m'encourage en m'assurant que ça lui fait un bien fou.
Ses paroles m'électrisent. Je sens mon sexe de plus en plus à l'étroit dans mon caleçon. Je réalise tout à coup qu'il se trouve à quelques centimètres du visage de Johanna mais avant même que je n'ai le temps d'esquisser le moindre geste, je sens une de ses mains me saisir entre ses doigts.
L'autre, doit être en train de libérer le seul bouton qui empêche ma braguette de s'ouvrir car elle réussit à m'extirper du caleçon en moins de temps qu'il ne le faut pour l'écrire.
Ma verge se dresse fièrement devant ses yeux.
Elle la regarde en déclarant qu'elle avait choisi son cadeau pour la réussite à son concours puis se met la lécher en poussant des gémissements des plus excitants.
Tout s'est enchaîné tellement vite qu'il ne pouvait pas alors être question de raison, réfléchir etc. etc.
Johanna fait glisser ses lèvres autour de mon gland pour se mettre à me sucer en léchant dans le même temps mon frein, si sensible. Elle est douée comme pour tout le reste d'ailleurs.
Le premier geste de ma main que j'avais eu vers sa tête pour la repousser se transforme en caresses dans ses cheveux.
Elle lève les yeux vers moi et malgré le sexe qui lui encombre la bouche.
Je vois dans ses yeux qu'elle est heureuse et qu'elle me sourit.
Elle me « désembouche » d'ailleurs quelques secondes, le temps de me dire, qu'elle était heureuse de pouvoir faire ce qu'elle avait envie depuis déjà si longtemps, me demandant de la laisser faire et de bien en profiter jusqu'au bout.
Je n'étais déjà plus en état de refuser quoi que ce soit.
Sa langue et ses lèvres avaient fait sauter les derniers verrous qui résistaient encore.
Je réussissais à me tourner un peu sur le canapé pour arriver à passer ma jambe de chaque côté de son corps et pouvoir mieux la voir me sucer et, la caresser en même temps.
Je n'aurais jamais pu imaginer qu'elle sache se servir de sa bouche aussi bien pour une gamine de son âge.
Les jeunes d'aujourd'hui ne sont plus ceux de mon époque avec toutes les informations qu'ils ont à leur disposition sur le web.
Je regardais ce visage d'ange penchée entre mes jambes, en train de me donner un plaisir que je n'avais jamais imaginé venant de sa part.
Quand elle se mit à me presser doucement les couilles tout en me branlant d'une manière à la fois douce et ferme pour m'amener à la jouissance, je sentis monter inexorablement en moi, les prémices de l'orgasme.
Elle me surveillait du regard, guettant la montée du plaisir, sûr d'elle.
Lorsqu'enfin elle vit mes yeux s'écarquiller et tous mes muscles se bander, je vis dans ses yeux qu'elle voulait que je me libère dans sa bouche ce que je fis en manifestant bruyamment mon orgasme.
Les yeux rivés dans les siens, je la vis avaler ma semence au fur et à mesure des spasmes libérateurs, profitant jusqu'à la dernière giclée de la chaleur de sa bouche.
J'étais vidé, épuisé lorsque finit de me nettoyer le gland puis s'allongea à son tour, face en moi en écartant les jambes dans une invite sans équivoque, un grand sourire aux lèvres :
A moi Parrain. J'ai une grosse envie à cause de toi.
Je n'ai plus vingt ans mais le spectacle de ses cuisses fermes grandes ouvertes pour moi et cette petite fente surmontée d'une fine touffe de poils bruns en forme de flèche indiquant le chemin du plaisir, me fit oublier ma fatigue naissante.
Je m'agenouillais entre ses jambes pour poser mon nez sur son ventre et humer avec délice ses odeurs intimes, m'en tapisser les muqueuses jusqu'à ce que la tête m'en tourne.
Tu aimes mon odeur Parrain ?
J'adore ma chérie. J'ai envie de te dévorer la chatte.
Oh oui. Oui. Fais-moi ça. Dévore-moi l'abricot.
J'obéissais et rapidement je me mis à la lécher.
D'abord tout autour sans plonger directement vers sa fente puis, au fur et à mesure, des gémissements de plus en plus impératifs qu'elle poussait en signe d'encouragements, je me suis approché de son bouton pour le débusquer de sa cachette et découvrir une vraie petite bite en pleine érection.
Elle était trempée et gémissait en permanence, boostant mon désir de la faire jouir à mon tour.
Je me mis tantôt à la sucer, tantôt à la lécher comme elle me l'avait fait quelques instants auparavant, puis j'ai glissé d'abord un doigt puis un deuxième dans sa fente en commençant des « va-et-vient » aussi profonds que possible.
Je sentais le plaisir en elle, prendre forme et quand enfin j'entendis sa voix devenir plus rauque, son ventre se tendre et ses jambes commencer à trembler, je sus qu'elle allait jouir.
Ahhhhhhhhhhhhhhhhhhhhh. Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii. Je jouis Parrain, je jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiis.
Je la laissais profiter longuement de son orgasme jusqu'à ce qu'enfin, elle se laisse retomber, inerte sur l'accoudoir du canapé, les yeux mi-clos, le visage encore déformé par le plaisir.
De longues minutes passèrent ainsi avant qu'elle n'ouvre les yeux puis, se redresse et vienne se blottir dans mes bras, pour me redire dans le creux de l'oreille, qu'elle ne s'était jamais senti aussi bien de sa vie.
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