A force de croiser la meilleure copine de ma fille à la maison, j'ai fini par craquer.

C'est une gamine d'à peine 18 ans que je n'aurais jamais dû cotoyer.

Mais sa jolie sihouette tellement excitante, son corps mince et bien formé, ces mouvements de jeune femelle toute chaude, ses regards appuyés... 

Ce qui devait arriver est arrivé !

Je la baise dnas les coins de la maison ou dans la chambre de ma fille lorsqu'elle n'est pas là...

Je n'aurais jamais cru que j'aurais pu tromper ma femme.

Et encore moins avec une gamine qui sort tout juste de l'adolescence ! 

Mais elle est tellement craquante, cette gamine...

Rien qu'à la regarder, même habillée, je bande comme un malade...

Ca c'est passé tout simplement la première fois.

On s'est retrouvé l'un contre l'autre sans savoir comment et nos lèvres se sont unies en un baisé passionné.

Tandis que nos langues gourmandes se mélangeaient , mes mains fébriles ont explorés ses intimités de jeunes filles.

Mes doigts fiévreux ont caressés sa petite poitrine.

Puis ils se sont aventurés entre ses cuisses fermes, jusqu'à la fente étroite de son sexe humide.

Je l'ai allongée sur le lit de ma fille tout en l'embrasant pour pénétrer son vagin serré avec ma bite en érection.

Je l'ai possédée ardemment, avec une certaine brusquerie, je dois le reconnaître... 

A chaque va et vient de ma pine brûlante, je m'enfonçais plus profondément en elle, dans son intimité de jeune fille.

Mes coups de boutoir dans son ventre lui faisaient pousser des cris de jouissance étouffés tout d'abord, puis de plus en plus stridents.

En la travaillant, je voyais ses seins mignons se soulever de plus en plus frénétiquement, son ventre se creuser, ses cuisses écartées se crisper davantage.

Elle en tremblait des pieds à la tête !

Depuis, lorsque ma femme et ma fille ne sont pas là, nous en profitons, la copine à ma fille et moi,  pour faire l'amour avec une passion dévorante.

Si ma femme ou ma fille savaient, elles deviendraient folles de rage ou de jalousie. 

Mais ma jeune maîtresse et moi, nous n'en avons cure, trop occupées que nous sommes à prendre du bon temps !