Moi j'ai toujours été un enfant vicieux.Je ne sais pas pourquoi, çà doit être génétique. Le sexe a toujours été un aimant pour moi, même lorsque je n'étais qu'un gamin impubère. J'ai été puni, frappé, fouetté, vu des psy etc .. Mais rien n'y a fait . Du plus loin que je me souvienne, j'ai maté, espionné. Maman m'a raconté qu'elle m'a surpris en train de baisser la culotte de ma soeur Sylvaine lorsque j'avais 7 ans et elle 6. En fait je crois que j'ai eu des pulsions et des hormones plus tot que tout le monde c'est tout. Et pas qu'envers les filleS. Et les garçons me faisaient autant d'effeT. Voir une bite ou un minou me faisait autant plaisir.
Sylvaine étant la seule petite, les deux autres avaient 14 et 15 ans. C'est donc Sylvaine qui avait pris l'habitude, étant proche de moi, même sentimentalement, de mes caresses, de mes demandes. J'adorais la voir nue, l'inspecter, la toucher, rentrer mes doigts dans ses trous, et je crois que ma première fellation ce n'est même pas moi qui en ait eu l'idée mais elle qui avait envie de savoir le goût, et j'ai donc eu envie de la lecher aussi .
En fait elle adorait çà. Etre importante, etre admirée, et jouir . Elle était gourmande. Donc dès que nous avions un instant, nous étions cachés dans la grande masion en train de nous toucher ou de nous sucer. Et un jour j'ai vu le chien en train de monter la chienne du voisin. Et cela m'a fait faire le rapporchement d'avec ce que j'avais entraperçu dans la chambre de mes parents. C'était donc çà qu'il fallait faire ! Dix minutes après Sylvaine était dans la même position et moi je lui rentrais ma queue dans son petit vagin. J'aimais ca, et elle aussi . Je crois bien me souvenir que la seconde fois ou nous l'avons fait j'ai cru qu'elle allait mourir car elle avait eu un orgasme si fort qu'elle avait été proche de la syncope ; a 8 ans ! Alors après les séances de sucette, de doigtage, nous nous emmanchions. >Et quand je dis doigtage, il n'y avait pas que mes doigts qui rentraient dans le vagin ou l'anus de ma soeur, elle me rentrait les siens dans mon anus aussi .
Et c'est ce qui a décidé d'ailleurs, par destin ou hasard, de ma destinée sexuelle.
En fait, quelque défaut ou qualité qu'on ait, on les tient toujours d'un parent . J'étais hyper sexuel, je devais avoir un parent aussi pervers que moi . Mais qui ? et je ne me posais pas la question, bien sûr. Mais la question sans se poser, s'est répondue d'elle-même.
C'étais pour les vacances de Pâques. Nous avions plus de temps et nous nous occupions beaucoup de nos sexes. Mais Sylvaine avait pris une angine et j'étais seuul à vaquer. J'avais un copain de l'école, un petit pied-noir, plus grand que moi, il avait 15 an, j'en avais tout juste 13, gros, moche, vraiment, mais qui ne parlait que de cul. Il venait de la ville et passait son temps à parler des putes, etc .. Et il aimait mesurer sa force; ce devait être facile pour lui, j'avais une tête de moins . N'empêche qu'il passait son temps à vouloir faire de la lutte, et cela m'agaçait. Etant seul, il me provoqua. Nous étions dans le fenil abandonné, c'était facile de s'y bagarrer et de rouler dans le vieux foin. Ce que nous fîmes. Par hasard, une prise me bloquant, il fut tête-bêche au dessus de moi, bloquant mes bras derrière mon dos d'une main. et je ne sais pas ce qui lui prît, mais il se mit à fanatsmer à haute voix sur la bosse de ma braguette, sur ma queue, que comme çà il allait pouvoir me faire voir ce qu'était un homme, qu'il allait me la toucher et plus il me tenait ainsi serré, plus il s'excitait, et d'une main me paluchait la braguette à tel point, qu'évidemment, ma bite se mit à raidir et qu'il eût alors une vraie bosse dure à délimiter sous le tissu avec ses doigts . J'enrageais d'être bloqué, j'avais honte, je m'en souviens parfaitement, ces choses là marquent, mais cela m'excitait terriblement aussi, et j'étais partagé entre l'envie qu'il me la sorte et qu'il gagne et l'envie que çà ne se passe pas . Tout cela en même temps. Il entreprit le zip de ma braguette étant difficile à ouvrir d'une main, de glisser sa main sous ma ceinture et de m'attrapper le gland. Je gonflais mon ventre autant que je pouvais pour bloquer sa main mais, d'un coup, j'eus trop envie, je bandais trop, et il avait appuyer son entre jambes dur sur mon visage et je sentais sa queue rouler sur ma bouche, et l'envie fut plus forte, je trichais donc, et rentrais mon ventre, et sa main agrippa mon gland et tout mon sexe . Ca le rendit raide fou. Je vais te la bouffer, je vais t'avaler ta peite queue de bourge disait il, attends tu vas voir , et je vis .... Pesant d rtout son poids sur moi libérant sa main, moi trichant et faisant le gamin bloqué a mort, il ouvrit alors mon pantalon, défaisant zip et ceinture, baissa, slip et pantalon et je sentis une espèce de chose chaude, humide, serrante, envahir mon sexe, une intense succion. Il avait avaler ma bite, entière et il la sucait comme un fou. Ses mains roulaient mes boules et ce qui devait arriver arriva je giclais, fort, et il se mit à me teter encore plus fort. Il avalait tout le sperme . Il me relacha, content de lui, faraud en me disant putain je l'aime ta queue, j'aime trop çà, elle est bonne je la veux, mec je la veux . Et en un tournemain il se mit nu devant moi, et ce fut la première moi que je vis un ado, presque un homme, sexe nu avec ses poils, sexe bandant raide avec le gland sorti. Et il s'affala encore sur moi, m'embrassant le ventre les cuisses, le sexe, avalant mes boules et se masturbant puis il se releva se mit à 4 pattes et me dit tout de go, sois gentil encule moi, j'en peux plus là, je veux ta queue, tu me dois bien çà non ? Lui devoir ? enculer ... Lui rentrer dedans .. Je comprenais vite . Je me levais, au passage il me suca encore pour bien me durcir et je m'installais derrière lui, il écartait ses fesses a deux mains, et je rentrais facilement. Maintenant je sais que je ne devais pas être le premier à y rentrer car il avait l'anus bien ouvert. Et je fis avec lui ce que je faisais avec ma soeur, je le baisais, mais avec ses conseils, vas y rentre fort, remue, sors, rentre, lime moi, donc je le baisais, et je jouis dans son cul . Il tomba raide de plaisir et m'attrappa violemment, il était costaux et la tête sous moi, il me lecha les boules et le cul, surtout l'anus, qil fulminait en me le lechant comme si cela avait été un gateau . Là dessus il entendit mon pere qui nous cherchait, et nous nous rhabillâmes en vitesse sans un mot, sauf que juste avant de sortir échevelés, il me roula une pelle de folie .
L'après midi évidemment, il était là voulant qu'on remette le couvert . Je voulais bien . C'était bon.
Nous commençames donc . Il me suca et voulu que je le suce, je le fis, cela faisait drole mais c'était marrant, j'aimais bien ce coté vicieux, il éjacula dans ma bouche, et je le baisais puis il voulut me baiser . N'ayant aps d'appréhension je le laissais faire e tje hurlais sous le coup de la douleur quand sa queue me pénétra. Et ce fut le hic . Sans que nous le sûmes. Il continua à me baiser. Puis, aprés ilo voulut que je fasse pipi devant lui et se mit à me teter à moitié pipi, il me buvait la pisse, il était comme fou. Il me lechale cul, enfonca ses doigts et puis il me demanda: si j'avais envie, tu me ferais caca dans la bouche ? j'étais horrifié ? T'es qu'une poule je te dis, moi j'aime çà . Bon . Je poussais un peu, ca venait il se mit dessous et je chiais un peu . Il me lecha ce qui sortait et l'avala, puis il voulut que je l'encule encore. Là j'endais du bruit. Puis je vis l'ombre pres de la porte . Et je vis ma mere qui nous regardait . J'étais à 4 pattes et lui de démenait en m'enculant . Elle devait penser que je ne la voyais pas . J'étais paralysé. Je me retirais vite fait Mais elle avait disparu. Je lui racontais et il décampa séance tenante.
Moi aussi . Il n'y eût pas de suite directe . Le lendemain Sylvaine allant mieux, elle me rejoignit par malheur au fenil et elle me sucât ardemment me demandant aussi de la prendre. C'est là que je revis l'ombre à la porte, et de face, ma mere nous regardant, moi de face debout nu et Sylvaine nue de dos ma bite a la bouche .
Ma mere regarda une bonne dizaine de secondes, me fixa dans les yeux, et ne dit rien puis disparût.
Je n'en menais pas large . Je coupais court aux effusions sans rien dire à ma soeur, et nous quittâmes sur le champ ces lieux devenus dangereux . Autant dire que j'évitais d'être voyant tout le reste de la journée.
Seul, je me cachais dans le jardin, derrière le muret, et n'y tenant plus, je me masturbais en pensant à la grosse queue de Rico et à la bouche de ma soeur .
C'est dans cette position que ma mère me trouva vers le milieu d'après-midi. Je n'eus même pas le temps de ranger ma chose, elle était raide, je l'astiquais et au moment où je vis maman arrivait à deux mètres de moi, la surprise me fit gicler, longuement gicler. J'avais la main pleine de sperme, le sexe décalotté à la main, et ma mere face à moi.
Je reçus la plus belle paire de gifles de ma vie, et ce ne fût qu'un début. Range toi furent ses seuls mots . Puis elle me prit par l'oreille, me faisant méchammenT mal et me traîna jusque dans le petit bureau qui était à l'entrée du salon, sa pièce réservée. Elle me regarda longuement et ne dit qu'un seul mot: dégénéré.
NOus allons tout reprendre par le début je crois . Baisse ton pantalon. Je le fis . Baisse ton slip. allez, vite, remets toi dans ta fonction favorite, comme tout à l'heure . Je ne fis rien ; Je comprenais mal. Vite, là, ton pénis à la main. Oh la la .... J'osais à peine descendre mon slip; vite . Et une monstrueuse gifle vînt ponctuer sa courte phrase. Ma main illico baissa le slip et saisit m