Tout d'abord,je me présente : je me prénomme Sylvie et je suis âgée de tout juste 18 ans ans. J'ai un frère de 20 ans qui n'arrive pas à se garder la moindre copine.

 
Nous vivons seuls avec notre mère. Notre père lui, s'est sauvé depuis longtemps avec une autre femme.

Au niveau physique, je suis « potable », des seins pas mal fichus, un beau visage et une chatte demie épilée.

Hélas cette jeune chatte ne voit pas beaucoup de belles queues s'enfoncer en elle, pour son plus grand désespoir.

A mes 16-17 ans, j'ai paillonné à droite à gauche mais ces rencontres me laissaient insatisfaite.

Et puis avec le temps, elles se sont espacées pour disparaître complètement.

Pour me donner du plaisir, je n'avais que mon gode et mes doigts.

Cependant je ressentais intensément le besoin d'un contact physique avec un homme pour me faire jouir vraiment.

Du vrai sexe quoi !

Avec mon frère, malgré notre âge, nous avons gardé la même liberté, c'est à dire, que je le voyais se promener en slip ( j'avais remarqué qu'il était bien monté) et moi en soutien-gorge et culotte avant de m'habiller pour aller en ville.

Il n'y avais aucune malice ni perversité entre nous.

 
J'avais bien remarqué que mon frère se branlait assez souvent, car j'avais retrouvée des revues pornos dans un tiroir de sa chambre, avec des photos maculées de sperme séché.

Mais quoi de plus normal, il n'avait pas de copine et il fallait bien qu'il se soulage.

Et puis, petit à petit une étrange idée m'est venue à l'esprit, jusqu'à devenir obsédente : et si j'avais tout ce que je recherchais à la maison, là dans la chambre d'à coté...

Mais j'avais concience que c'était mon frère. Et la simple idée d'avoir des relations incestueuses avec lui me rendait honteuse.

De plus je ne savais pas comment lui prendrait la chose.

Puis un jour tout c'est précipité.

Je reviens d'une balade en ville et j'entends des pleurs provenant de la chambre de mon frère.

Je frappe,discrètement à la porte et lui demande d'où vient ce gros chagrin,

"C'est une relation avec une jolie fille que j'avais en vu, mais comme d'habitude ça n'a pas marché" me répondit-il en pleurnichant.

Il est allongé sur le lit seulement vêtu de son slip.

Alors je m'avance timidement.

Je m'assois au bord du lit et j'essaie de le consoler comme je peux, tout en lui caressant le torse et en lui faisant de petits bisous dans le cou.

Mes caresses lui font de l'effet car je vois une belle bosse se former dans son slip et même un petit bout de sa queue qui veut s'échapper...

C'est trop charmant !

Je lui dit d'une voix rauque :

" On dirait que mes caresses te font du bien, cela ce voit fort bien".

lui : Oh oui pardon chère soeur, tu m'as détendu et fait oublier mon chagrin,

 
Moi : Tu n'as pas à avoir honte, un jeune homme comme toi bande facilement,

Lui : Oui mais j'éprouve quand même une certaine gêne car tu es ma frangine.

Moi : Je suis une jeune fille et aussi une femme qui sait apprécier les beaux sexes et le tien est si long et gros. Tes copines ont déjà dû te le dire.

Tout en parlant, je continue mes caresses et me rapproche de son bas ventre.

Lui : Oh tu sais ces gamines, elles allument et puis tu n'as jamais rien au bout,

 
Moi : C'est une vraie femme qu'il te faut, comme moi par exemple,

 
Lui : Oh mais Sylvie, tu n'y penses pas, c'est interdit tout cela. Nous somme frère et soeur, de la même famille,

 
Moi : Qui le saura et puis cela sera notre secret, après tout moi dans cette chambre je vois un homme et une femme qui ont envie de se faire du bien,

Lui : C'est toi qui a raison, ça sera notre secret et puis j'ai tellement envie, tu sais que je me masturbe parfois avec tes strings que tu a portés,

Moi en rigolant : oui j'avais remarqué des taches suspectes à l'intérieur.

Et pris dans cette conversation, je caresse le sexe de mon frère par dessus le slip,

 
Lui : Hummmmmm c'est trop bon

 
Moi: Attends je vais la sortir car elle est à l'étroit

Et là, j'ai la belle queue de mon frère entre les mains et je le branle doucement. C'est inouï ce que c'est bien,

 
Lui : Oh c'est bon, continue, j'ai envie de jouir

J'accélére le mouvement et tout d'un coup, il gicle une telle quantité de sperme que j'en ai plein les mains, sur ma veste et sur le mur.

Et maintenant, j'ai envie que tu te mettes toute nue pour te baiser ! s'exclame-t-il.

Je ne peux vraiment plus rien lui refuser...