On se fait parfois de drôles d'idées sur certaines filles.

Tenez, prenez la gamine des voisins d'en face. 

La famille est pleine aux as, cela se voit.

Et puis ce sont des gens bien comme il faut.

Ils ont une belle maison, une belle voiture. Ils ne parlent pas aux voisins, mais il se dit que l'homme et la femme ont chacun une très bonne situation.

Ils n'ont qu'une fille qu'on voit rarement dans le quartier. Il se dit qu'elle est étudiante sur Paris, loin d'ici donc.

Aussi grande est ma surprise lorsqu'après avoir entendu sonner à ma porte je trouve la jeune voisine devant moi, souriante, avenante.

Ma femme n'est pas là, mais je laisse entrer la minette quant même.

La fille vient pour faire connaissance, dit-elle.

Alors je lui offre un verre.

Elle accepte et s'installe sans manière dans le canapé.

Alors c'est le plus incroyable qui se produit.

La fille qui se prénomme Audrey écarte ostenciblement les jambes et je peux découvrir qu'elle ne porte pas de culotte sous sa robe plus que courte.

La vision est magnifique. Aussitôt j'ai la gorge sèche et une bosse énorme qui déforme mon pantalon.

Mais qu'est-ce qu'elle me veut cette nana ?

Je n'ai pas plus que ça le temps de me poser la question.

Sa langue s'introduit dans ma bouche.

Je lui roule une pelle comme jamais encore je crois, je ne l'avais fait auparavant.

Le corps de la jeune fille vibre de partout. C'est comme s'il y avait un incendie entre ses cuisses. 

Cette chatte offerte, je ne peux pas réfléchir, résister à son attrait, impossible.

Elle est hyper douce, humide, la fente résiste à peine.

L'orifice a un goût de jeune femelle qui me fait tourner la tête, me détraque  les sens. 

Je la dépoitraille pour caresser ses seins.

Audrey s'empare de ma bite qu'elle suce comme une reine.

Je la pénètre de ma bite en hyper érection en écartant ses cuisses pour aller plus profond.

Audrey adore. Moi aussi.

C'est trop géniale de baiser cette fille.

Je ne sais pas pourquoi elle fait ça avec moi qui ai sans doute le double de son âge.

Mais, en fait, je m'en fout complètement.

je suis tout à mon plaisir intense.

Nous restons bien deux heures à baiser, et baiser encore, dans toutes les positions.

Nous sommes submergés par le plaisir, insconcients du danger de voir ma femme revenir.

Faut voir Audrey exprimer son plaisir intense, l'entendre gueuler sa jouissance, en redemander encore.

Elle veut du sexe, plus de sexe...

Arrive le pire des moments, celui de se séparer.

Audrey ne me révèle pas le pourquoi de cette séance ardente de sexe.

Elle ne me dit pas si nous nous reverrons pour renouveller l'expérience.

Je ne demande rien en l'accompagnant à la porte.

J'ai droit à un bisou furtif.

J'espère de tout mon coeur que la minette reviendra...