Moi ce que je voudrais, c'est qu'un homme me dépucelle...

Qu'il me libère enfin de cette rondelle virginale qui obstrue mon vagin sensible et qui m'empêche d'être femme.

Mais les garçons de mon âge maintenant sont comme ça : ils ne veulent pas de préservatif...

Et ils ne veulent pas prendre le risque de mettre une fille enceinte.

Et maman qui ne veut pas que je prenne la pilule...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Alors je dois m'accomoder avec cette situation insatisfaisante car je suis une fille tout ce qu'il y a de plus normale : j'ai besoin de sexe...

Je suis bien obligée de préparer le passage anal que mon amant du moment va immanquablement utiliser pour jouir en moi. 

 

 

 

 

 

 

 

Regardez ! Est-ce que je ne fais pas tout ce qu'il faut pour faciliter la tâche de mon amant, comme il me le demande ?...

 

 

 

 

C'est bon quant même, je l'avoue, de se faire pistonner par son cul.

 

 

 

 

Mais j'aimerais être considérée comme une vraie femme.

Et pas seulement comme un instrument de plaisir masculin.

 

 

 

 

 

 

 

 

Voilà pourquoi j'accepte ce que les garçons me demandent.

Comment se passer de leurs petites attentions masculines ?

Comment résister à la jouissance intense que le garçon me procure entre deux coups de bite dans mon anus ?...

 

 

 

 

 

Là, maintenant tout de suite, j'oublie tout : Mon envie de dépucellage, la baise par derrière, le ramonage un peu trop sauvage de mon fondement.

Je me sens hors du temps, parfaitement bien dans ma condition de femme à disposition du mâle.

 

 

 

 

 

Je me demande si les garçons ne trouvent pas prétexte de ne pas me dépuceller pour me sodomiser...

Plutôt que posséder mon vagin vierge...

 

 

 

Vas y plus profond ! Claque bien tes couilles contre mes fesses !...

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

 

Tu cries plus fort lorsque ça vient.

Tu vas te vider les couilles, mais tu résistes tant que tu peux...

 

 

 

 

 

Le jus chaud et épais sera cette fois encore pour mon cul et pour ma bouche.

J'aime le goût si particulier de la semense masculine...

Je vais tout avaler avec gourmandise.

 

 

 

 

 

 

Dis moi, Jérome, est-ce que la prochainement fois tu voudras bien me déniaiser, me faire enfin femme ?

Mon partenaire me dit que oui.

Mais comme pour les autres amants, je devine qu'il pense : Pas si tôt...