J’ai décidé de recommencer le tennis, plusieurs de mes ami(e)s pratiquent ce sport.
Cette année, il y a un nouveau moniteur, Daniel, un homme sympa, célibataire, grand, musclé et très sympa, un peu dragueur bien sûr, plus avec nos mamans qu’avec nous, qui sommes âgées de 15 à 18 ans, trop jeunes pour lui, il doit avoir dans les 30 ans !

  Pourtant, je crois que s’il voulait, peu de filles diraient non, et moi la première.
On apprend qu’une petite fête est programmée au clubhouse, pour fêter les résultats des joueurs et la fin de l’année. Tous les membres sont invités, et on demande des volontaires pour l’organisation de la fête et la préparation de la salle.

Avec 3 copines, nous nous portons volontaires pour décorer la salle. Le jour prévu, mon père me dépose au clubhouse, où Daniel nous attend. Une fille est déjà là, les deux autres nous rejoignent et nous commençons la déco. La salle, le sapin tout ça nous prend du temps et, vers midi, nous n’avons pas fini. Daniel propose que chacun aille déjeuner et de finir cet après-midi ; il nous propose aussi de nous déposer avec sa voiture et de nous reprendre vers 14h.
Il dépose donc, une à une, mes copines et moi en dernier (nous habitons pas très loin de chez lui), et il me pose plein de questions, dans quelle classe je suis, ce que j’aimerais faire plus tard, mes goûts en matière de cinéma et de musique, etc. Nous arrivons devant chez moi, je propose de lui offrir un verre, il me dit qu’il ne veut pas déranger ma maman. Je précise que je suis seule, mes parents travaillent et ne rentrent pas déjeuner à midi. Il accepte alors, pour "découvrir mon univers".

Je lui offre un jus d’orange et lui montre ma chambre, un peu en fouillis, il regarde mes CD, mes livres, il voit la photo de mon cousin et me dit :
- Il est mignon ton petit copain !
- Ce n’est pas mon petit copain, c’est mon cousin.
- Tu as bien un petit ami, jolie comme tu es ! Bien que n’en ayant pas en ce moment, je ne veux pas passer pour une idiote et je lui dis :
- Oui, bien sûr, à mon âge c’est normal.
- Tu as raison, c’est de ton âge.
- Et toi, tu as une copine ?
- Non, pas en ce moment.
- Tu veux me dire ton âge ?
- J’ai 25 ans, et toi ?
- Presque 17 (je me vieillissais un peu !)
- Tu n’as que 17 ans ! Je t’en donnais au moins 18 ! Je suis déçu, tu es trop jeune pour que je te drague, dit-il en éclatant de rire.
- Ben non, 17 ou 18, c’est pareil tu sais.

- C’est pas pareil, à 17 ans on fait pas les même choses qu’à 18 ou 20.
- Moi, j’ai déjà fait plein de choses avec un garçon plus âgé.
- Ah, bon ! Ça devient intéressant, je vais réfléchir.
- Tu veux déjeuner avec moi ? Au menu : steak haché et pâtes.
- Tu es très gentille, mais je ne voudrais pas te déranger.
- Tu ne me déranges pas, au contraire !
- Alors c’est d’accord, mais je fais la vaisselle.
- Perdu, on a un lave-vaisselle, mets la télé pendant que je fais le repas !

Je prépare la table et pendant que je fais cuire les pâtes et la viande, il vient derrière moi, pose ses mains sur mes épaules et plaque son corps contre le mien ; je me retourne et il pose ses lèvres sur les miennes, que j’entrouvre aussitôt pour laisser passer une langue qui rejoint rapidement la mienne. Notre baiser est passionné, nos langues s’emmêlent pendant plusieurs minutes, il en profite pour entreprendre une exploration manuelle au niveau de mes seins et de mes fesses. 

Je sens qu’il commence à éprouver pour moi autre chose que de l’amitié, le désir commence à monter ! Je le repousse et lui dit :

- On déjeune d’abord rapidement pendant que c’est chaud et on verra après si il nous reste du temps, il faut absolument terminer la déco cet après-midi.
- Oui, tu as raison, mangeons et nous verrons, mais tu m’as donné une sacrée envie, touche ! Je passe ma main, il est bien dur et apparemment bien pourvu ! Nous déjeunons rapidement, je lui propose un café qu’il refuse, nous avons environ ¾ d’heure devant nous, je l’emmène dans ma chambre. Je retire mon pull, mon jean, mon sous-tif et mon slip et lui dit :

- Qu’attends-tu ?
- Ah, ben ça alors ! Si je m’attendais ! Il retire ses vêtements. Je me suis couchée sur mon lit, il me rejoint et me caresse lentement en me donnant des petits baisers sur toutes les parties du corps, je le caresse aussi, son corps est très musclé, c’est très agréable et il y a ce sexe que je n’ai pas encore osé toucher, mais que je sens sur mes cuisses et sur mon ventre.

Après avoir embrassé longuement mes seins en caressant mon clito, il est descendu vers mon pubis, puis a atteint mon petit abricot. Sa langue a remplacé ses doigts, qui ont pris place dans mon vagin. Sa langue est très agile, cette caresse est délicieuse et je ne tarde pas à le lui prouver en atteignant l’orgasme et en poussant des petits cris de bonheur. Il a fait sa part, à moi de faire la mienne. A son tour, il se couche sur mon lit et c’est moi qui explore son corps avec mes mains, mes doigts et ma bouche, je le caresse lentement, provoquant chez lui des frémissements, mais je descends rapidement vers ce dont j’ai vraiment envie : sa queue, je la prends en main en lui imprimant de lents mouvements de haut en bas, accompagnés de petits bisous sur le gland, sa queue est longue (plus longue que celle de mon cousin) mais pas plus épaisse, elle est bien dure. 

Tout à coup, je l’enfourne tout au fond de ma gorge en serrant fort les lèvres ; en remontant, j’enrobe son gland avec ma langue, puis je recommence changeant sans cesse de rythme ; tout à coup, j’enfonce un doigt dans son anus, et quelques secondes après je ressens les soubresauts annonciateurs de la montée du plaisir ; aussitôt, il répand dans ma bouche, en puissantes giclées, ce liquide épais et amer, que j’avale en le regardant, ensuite je lui nettoie la bite avec ma bouche et ma langue afin qu’il ne reste rien. Pendant ce temps il ne m’a pas quittée du regard ; il me dit :

- Quand on te voit, on ne peut pas penser que tu fais ce genre de choses, surtout à ton âge ! Tu m’as sucé vraiment bien, j’adore, tu pourras recommencer si tu veux ; la prochaine fois je te prendrai, tu verras comme je fais ça bien !
- D’accord, mais aujourd’hui il vaudrait mieux nous rhabiller, aller chercher les filles et terminer notre travail, tu ne crois pas ?
- Oui, tu as raison, dit-il en me donnant un baiser et un :
- Merci, c’était super.
- Merci, pour moi aussi, j’ai beaucoup aimé !
Cette journée se termina dans la bonne humeur. On se retrouverait le lendemain.



Le lendemain, beaucoup d’adhérents sont présents, le discours est prononcé par le président, qui en profite pour présenter ses vœux. Vers midi, un punch est offert, puis un repas de salades, saucisses, côtes de porc et merguez est servi. Un gâteau et une coupe de champagne terminent le repas. Ensuite des films enregistrés par les membres son projetés. La journée se termine sans incidents et nous rangeons et nettoyons les salles.
J’ai eu le temps de dire à Daniel que je mouillais pour lui. Il m’a dit qu’il bandait pour moi et qu’il était libre le lendemain jusqu’à 17h. Il m’a proposé de venir me chercher chez moi vers 11h et de me ramener vers 16h30. J’ai bien évidement accepté.

Le lendemain, à 10h30, je suis déjà prête ; malgré la température je me suis habillée sexy, j’ai mis une jupe courte en jean avec un collant dessous, bien sûr. Un pull un peu petit et un soutif une taille au dessous, pour faire ressortir mes seins.

Enfin il arrive, je monte aussitôt dans sa voiture et il démarre. Il s’arrête un peu plus loin et m’embrasse, il me dit :
- Je ne voulais pas t’embrasser devant chez toi. Tu es super sexy aujourd’hui, ça te va bien la jupe, tu as de belles cuisses, je l’avais déjà remarqué lors des entraînements, tu es super bandante dans ta jupette plissée blanche !
En même temps, il me caresse les cuisses.
- Allez, on perd pas de temps, on y va, lui dis-je en posant ma main sur sa braguette. On arrive chez lui, il habite un petit appart au 1er étage. Il me fait entrer, me fait visiter et me dit de faire comme chez moi. Il fait chaud chez lui, il se met rapidement torse nu, m’entoure de ses bras et m’embrasse, nos langues explorent nos bouches, nos mains explorent nos corps, il a de beaux pectoraux, je suce et mordille ses tétons, il caresse mes seins à travers le pull et le soutif.

Il me dit :
- Tu as les seins bien fermes, c’est très agréable, j’aimerais que tu me masturbes avec tes seins. Je sentais mes mamelons durcir ; je lui dis :
- On va dans ta chambre, j’ai envie de te toucher partout. Il me dit oui mais s’agenouille devant moi et ouvre le zip de ma jupe qui tombe à mes pieds, descend mon collant, et ma petite culotte qu’il retire et embrasse aussitôt mon minou, comme s’il lui roulait une pelle. J’en tremble de plaisir, il se relève, j’en profite pour défaire son pantalon qui descend sur ses chaussettes, où le slip le rejoint. Il me retire mon pull et dégrafe mon soutif, nous sommes nus, j’attrape sa bite et l’attire jusqu’à sa chambre, je le pousse sur le lit, tenant toujours son sexe que je prends immédiatement en bouche.

Après quelques minutes de pompage, de léchage et de suçage, l’objet qui a pris des dimensions honorables se dresse fièrement dans ma bouche. Alors que je recommence mes allers-retours, Daniel me dit :

- J’ai envie de te prendre.
- Moi aussi j’ai envie, tu as des préservatifs ? Je ne voudrais pas tomber enceinte, tu comprends ?
- Oui, bien sûr. Il se lève et va les chercher.
- Je suis bien embêté, j’en ai plus, me dit-il en me montrant la boîte vide.
- Mais, écoute, si tu veux, par là où je vais te prendre tu ne risqueras pas d’avoir un bébé, tu es d’accord ?
- Tu veux me prendre par derrière ? Je ne l’ai jamais fait, on dit que ça fait mal.
- Eh bien je vais te faire ça tellement bien que tu n’auras pas mal du tout, seulement du plaisir.
J’accepte, avec une petite appréhension tout de même ! Mais je lui fais confiance, mignon comme il est, il a dû en prendre des pucelages avant et arrière !!! Il ajoute :
- Fais-moi confiance et laisse-moi faire, contente-toi de prendre ton plaisir. Puis, il m’embrasse longuement en caressant mon clitoris.
- Oui, je te fais confiance, vas-y.
Sa langue a maintenant remplacé ses doigts sur mon clito, qui eux s’agitent à l’entrée de mon vagin, massant les petites lèvres, mon clito est dur, je sens que je ne résisterai pas longtemps à ses actions, et, en plus, je n’ai pas du tout envie d’y résister. 

Quelques instants après, je sens mon ventre se contracter et j’ai un bel orgasme entraînant des gémissements de plaisir. Sans attendre, il recommence à sucer très lentement mon clito et à caresser avec sa langue mes petites lèvres et l’entrée de mon vagin. Ces caresses me maintiennent à un haut niveau d’excitation. Ses doigts s’occupent maintenant de mon anus, l’un d’entre eux fait des allers- retours à l’intérieur, je ne l’ai même pas senti me le mettre. Quelques instants après, il le remplace par un plus gros, son pouce sans doute, puis il ouvre un tube et s’enduit les doigts (je saurai par la suite qu’il s’agit de vaseline). Son pouce continue ses va-et-vient pour assouplir les muscles de mon sphincter ; il m’a graissé l’anus avec la vaseline. Sa langue n’étant pas une seconde restée au repos, mes muscles se contractent ; je sens que je vais avoir un nouvel orgasme. Lui aussi l’a senti et il a retiré son pouce de mon trou du cul pour y substituer 2 doigts, la petite douleur que je ressens est vite balayée par la jouissance que me procure ce nouvel orgasme.

 Maintenant, tout en continuant à s’occuper de mon sexe, les doigts pénètrent mon conduit anal, qu’il élargit savamment, en prenant tout son temps pour éviter la douleur. Un moment après, un 3ème doigt vient rejoindre les 2 autres, toujours à l’occasion d’un nouvel orgasme, le plaisir effaçant la douleur ! Il pilonne un long moment mon petit trou avec ses 3 doigts, ils pénètrent de plus en plus aisément. Maintenant, il les retire totalement et les réinsère sans difficultés, il a ajouté de la vaseline puis il les fait tourner, d’un mouvement circulaire, comme s’il me forait l’anus. Il me dit :

- On y est, on va passer à la dernière phase, tu as souffert ?

- Quelques petites douleurs, dont je ne me suis pas aperçue beaucoup car, à chaque fois, un orgasme m’amenait beaucoup de plaisir.
- Eh oui ma belle, c’était fait exprès.
- J’ai bien compris.
- Mets un doigt dans ton cul, tu vas te rendre compte qu’il est beaucoup plus large qu’il n’était !
- Ah oui, c’est étonnant, d’habitude ça me serre, j’ai l’impression qu’il est aussi large que mon vagin ; il va se resserrer après ?

- Oui bien sûr, mais pas tout de suite, après si tu as des visites régulières, ton sphincter restera souple et s’élargira facilement pour laisser entrer tes amis, par contre si tu ne te fais pas prendre par là avant longtemps, il faudra tout recommencer !
- Allez, maintenant tu restes sur le dos, tu mets tes jambes sur mes épaules et un oreiller sous tes fesses, comme ça, voilà, et ne crains rien, je ne te ferai pas souffrir".

Il me tient par les hanches et a placé son gland à l’entrée de mon anus, il pose sa main sur mon pubis et me chatouille le clito avec son pouce, de manière très rapide, un peu comme je le fais moi-même lorsque j’ai envie d’un petit plaisir rapide ; en même temps, il insère doucement son gland, qu’il a enduit de vaseline, dans mon cul ; quelques instants plus tard, je sens monter un nouvel orgasme, il l’a aussi senti venir et, au moment le plus agréable, il pénètre mon cul, je n’ai réellement rien senti, il a rentré son gland et un peu de sa verge dans mon anus, ça me fait tout bizarre de sentir ce truc dur dans mon cul, il ne bouge plus.
- Je n’ai rien senti quand tu me l’as mis, mais maintenant je sens bien qu’il est là ! Tu l’as rentré complètement ?
- Non, seulement le gland, je vais te mettre le reste maintenant, et il commence à rentrer lentement, par petits va-et-vient, il me demande si cela me fait souffrir, je réponds que non, alors il va un peu plus vite, puis il s’arrête et me dit :
- Je vais décharger dans ton cul si je continue, je t’ai élargie mais tu es tout de même bien serrée, c’est très agréable, c’est bon de se dire qu’on est le premier à pénétrer ce petit trou d’amour. Maintenant que ton cul est habitué à ma bite, mets-toi à quatre pattes, que je te sodomise en levrette.
Je me retourne et lui tend mes fesses, il me met le doigt puis, aussitôt, son gland et m’enfile d’un seul coup de rein. Je lui dis :
- Va doucement, tu vas me faire mal !
- Mais non ma belle, maintenant c’est bon, et il entame quelques allers-retours, il ne me fait pas souffrir mais je ne ressens aucun plaisir à me faire enculer.

Quelques minutes après, je sens qu’il m’inonde le cul avec son sperme, en poussant des rugissements de plaisir. Il me dit :
- Va aux toilettes car ton cul est plein de sperme et comme ton trou est bien ouvert, ça va tomber, et autre chose aussi ! Et il va se laver la queue.
Nous avons fait l’amour tout l’après-midi, il m’a prise 3 fois par le cul, j’ai toujours pas joui, mais avec sa bouche oui !
Lors de notre prochaine rencontre il aura des préservatifs, je lui ai dit que j’étais encore vierge, il en est enchanté ; dépuceler une fille par devant et par derrière, c’est super a-t-il dit, dommage que ce ne soit pas le même jour !


Le lendemain après-midi, je vais jusqu’au club de tennis pour voir Daniel, qui doit donner des cours. On convient de se retrouver à son appart le lendemain matin vers 9h, son 1er cours étant à 13h30. Il me demande si je n’ai pas mal au cul ; je lui réponds que je n’ai aucun problème pour aller à la selle ! Il rigole et me précise qu’il a déjà acheté les préservatifs et que nous procéderons donc à mon dépucelage.

Le lendemain, j’arrive chez lui vers 9h, il m’ouvre en boxer et tee-shirt, m’embrasse goulûment et me dit :
- Je viens de me lever.
- Je vois, t’es en forme ?
- Oui, aucun problème, tu vas voir !
- Je n’attends que ça, puis me regardant mieux, il me dit :
- Mais, comment tu es habillée ?
J’ai un grand manteau qui descend jusqu’aux chevilles, il l’ouvre ; dessous je suis en tenue de tenniswoman, tee-shirt blanc sans soutif, minijupe plissée blanche, la tenue dans laquelle il dit que je suis super bandante ! Il me dit aussitôt :
- Je vais te prendre tout habillée, la première fois que je t’ai vue sur le cours dans cette tenue, j’ai eu un début d’érection et, crois-moi, ça ne m’arrive pas souvent, je suis rodé !

- Si ça te fait plaisir, aucun problème, mais si je saigne, ma jupe est foutue,
- C’est juste, tu vas te déshabiller, je vais te dépuceler et ensuite je prendrai ton petit cul, jupe retroussée sur tes fesses !
- Surtout tu ne me fais pas mal, hein ?
- Mais non, ne t’inquiète pas.
Puis, il me déshabille et m’emmène dans son lit. Il retire ses vêtements de nuit et nous nous allongeons sur le lit, nos corps et nos langues s’entremêlent, j’ai envie de sucer sa queue, je la prends dans ma main et descends pour la prendre dans ma bouche lorsqu’il me dit :
- Mets-moi ta chatte sur le visage que je puisse t’embrasser pendant que tu me suces, ça s’appelle un 69. 

Et, pendant que je lui pompe le dard, il m’embrasse la minette à me faire frémir et je sens ses doigts qui inspectent l’entrée de mon vagin. Il se garde bien de les enfoncer trop profondément, de crainte de déchirer mon hymen, qu’il doit vouloir prendre avec sa bite. Après m’avoir fait jouir, il me dit : 

- En fait, j’ai bien réfléchi, si tu veux bien, je vais te dépuceler sans préservatif, et je ne déchargerai pas dans ton ventre, je garde mon jus pour ta bouche et ton cul, prendre ton pucelage sans capote est plus agréable pour moi, comme pour toi.
- Tu fais comme tu veux mais tu me fais pas mal.
Il s’assoit sur une chaise et me demande de venir sur lui, je m’assois sur ses genoux, face à lui, il baisse un peu sa queue bien raide et la place à l’entrée de mon vagin, entre les petites lèvres, ses mains enserrent mon dos, il me fait des petits bisous dans le cou, sur les lèvres, en enfonçant lentement son sexe dans le mien ; je m’empale tout doucement sur sa queue lorsque, tout à coup, je sens une petite déchirure ; il a compris, il m’embrasse à n’en plus respirer, caresse mes seins et mes fesses, et ne bouge plus son sexe. Lorsqu’il comprend que la douleur s’est estompée, il reprend sa pénétration. Je sens cette bite pénétrer jusqu’au fond de mon vagin, j’ai de plus en plus chaud au ventre, c’est agréable de se sentir aimer, c’est bon de faire l’amour, je crois que je suis faite pour ça !

- Maintenant que je t’ai dépucelée des deux côtés, laisse-moi réaliser mon fantasme, mets ta tenue de tennis, je vais t’enculer tout habillée.
Aussitôt dit, aussitôt fait, je mets ma jupette et mon tee-shirt, il s’assoit dans un fauteuil et me demande de marcher dans la pièce, il s’excite un peu, puis il se lève, se plaque contre mon dos, m’embrasse dans le cou, me palpe les seins à travers mon tee-shirt et place sa main sous ma jupe, sur ma chatte ; je sens sa bite prête à éclater de désir sur mes fesses, puis il me demande de me pencher sur le canapé, retrousse ma jupette, positionne son dard sur mon anus et, sans attendre, me pénètre le cul jusqu’à la garde ; les soubresauts que fait sa bite entre mes reins m’indiquent qu’il va rapidement prendre son plaisir ; pourtant il parvient à se maîtriser et, après quelques minutes passées au fond de mon cul sans bouger, il recommence une série de va-et-vient à la fin de laquelle il a un énorme orgasme pendant lequel il me remplit le cul de sperme. Lorsqu’il se retire, le sperme dégouline et tombe sur le tapis ; je cours vers les toilettes, mais on peut me suivre à la trace. Je n’ai pas taché ma petite jupe, mais j’ai quelques gouttes de sang sur ma minette.