Moi je ne suis pas le genre de fille à m'en laisser conter, encore moins à me laisser impressionner.

Je fais ce que je veux et quant je veux.

Là je téléphone à mon petit copain ; j'ai envie de faire l'amour et on se donne rendez-vous pour ce soir.

C'est le moment que choisit mon beau-père pour venir m'emmerder avec la lettre recommandée qui lui apprend que je suis virée du lycée.

Je m'en fout moi de ça.

Je l'envoie balader.

L'enfoiré me menace de me punir si je ne réagit pas mieux.

J'en ai rien à foutre.

D'abord, il n'a rien à me dire : c'est pas mon père

Mais il me menace vraiment, ce grand con. Je vais lui mettre ma main à la gueule.

Il me fout quant même les pétoches, pourri !

Mais qu'est-ce qu'il fout, ce con, il m'agenouille et baisse son froc.

Je me débats, mais il est plus fort !

Il profite que ma mère soit pas là. Il arrache mes vêtements et fourre sa bite tendue dans ma bouche.

Je ne veux pas sucer, mais c'est lui qui organise le va en vient dans mon gosier.

Je le hais ce fumier.

Il me redresse et me pousse contre la table.

Aussitôt il pousse son engin dans ma chatte.

Il me fait mal. Il ramone mon trou en poussant de grands cris ridicules.

Connard, tu peux me violer, je ne te ferais pas le plaisir de chialer.

Je prends sa grosse queue dans mon vagin avec le plus grand des mépris.

Il me fait mal, ce dégueulasse et même temps je suis dégoûtée d'éprouver une forme de plaisir malsaine à me faire niquer comme une pétasse.

J'ai la chatte trempée de foutre.

Le salopard s'en rend compte en cognant toujours plus fort au fond de mon trou de femelle.

Il doit se fiche de moi.

Je n'ai pas la force de résister lorsqu'il veut éjaculer sur mes seins. je joue encore la provoquante pour ne pas montrer  ma honte. Mais j'en ai gros sur la patatte, comme on dit.

Son sperme me dégoute, à ce mec.

Je me demande comment ma mère peut le supporter.

Et dire que je ne pourrais rien lui révéler de cette agression

Pendant que mon salaud de beau père se rhabille, sa chose faite, je garde quelques forces pour le défier jusqu'au bout.

Mais je dois reconnaître qu'il m'a humiliée, salie.

Il m'a domptée le salaud...