Sexe Minettes
j'ai tenté ma chance.
C'est la gamine des voisins. Depuis un bon moment je louche sur cette fille, mais je suis nettement plus âgé qu'elle, alors...
Elle m'a dit : je m'ennuie, mes parents sont au boulot. Mon copain, bosse aussi.
Je lui ai dit : tu me montres ta chambre ?
Elle a dit : oui, venez voir...
La fille s'est allongée sur le lit en rigolant effrontément.
Je lui ai lancé :
Tu oserais me monter les sous vêtements que tu portes ?
Elle a répondu :
Pourquoi pas, si je vous plais !
Elle a commençé à faire la gamine tout en m'excitant :
Vous voulez jouer avec moi ? Rigole-t-elle.
Moi, je pense à autre chose.
Je lui dis :
Tu me montres ton intimité de jeune femelle ?
Elle rigole encore et ne répond rien en écartant les jambes.
Lorsque je veux lui lècher le minou, elle se refuse tout d'abord puis se ravise rapidement.
j'en profite pour y mettre la langue.
C'est chaud, humide, délicieux.
Lorsque je sort ma bite en érection, elle se montre étonnée et un peu inquiète.
Manifestement la queue de son copain n'a pas cette ampleur.
Elle prends pourtant ma bite dans sa bouche et commence à la sucer avec application, puis avec de plus en plus de fougue et de gourmandise.
Vient le moment délicat où je veux fourrer sa chatte de gamine avec mon engin.
Faudrait pas qu'elle se refuse ! J'en deviendrais dingue de dépit.
Mais non, la gamine est trop chaude. Je peux en faire ce que je veux.
Et je lui ramone ardemment le minou, à grands coups de bite, à m'en claquer les couilles entre ses cuisses.
Je la prends par devant et par derrière. Elle se laisse guider comme je préfère.
Elle m'appartient, la petite salope, et je la baise par tous les côtés en prenant un max de plaisir.
Faut l'entendre gémir de jouissance, gueuler lorsque l'extase se fait plus forte.
Son ventre se creuse de plaisir. Elle mouille de la chatte.
Son corps, ses fesses se crispent et se détentent au rythme de mes coups de boutoir dans son vagin.
Ses petites seins se soulèvent et gonflent par accoups de plus en plus saccadés.
Elle est bouche grande ouverte à la recherche de son souffle...
Et puis, elle me pompe le dard jusqu'à ce que mon jus gicle au fond de sa bouche.
Elle avale tout, n'en laissant pas une goutte dans mes couilles.
Lorsque je suis bien vidé, lorsqu'elle est bien remplie, elle s'écroule, épuisée, comblée, en me demandant si je veux bien qu'on se revoit bientôt.
Mais bien sûr, ma jolie, on remet ça quant tu veux !