Sexe Minettes
Tout a commencé un soir d'été.
Cétait une fête entre voisins tout le monde s'amunsait, dansait, buvait, toutes générations confondues.
Une fête plutôt banale, en somme... s’il n'y avait eu un "je ne sais quoi" d'électrique dans l'air.
A cause du temps orageux ? de la boisson alcoolisée ? des tenues un peu légères de la plupart des femmes ?
Je ne saurais le dire...
Toujours est-il qu'il y avait des regards appuyés, des rires un peu plus hauts que d'ordinaire... Plus de slows, aussi.
Ah, quelle bonne invention que le slow !
Cette danse (?) permettait de se frotter, de bander discrètement... et sûrement aux filles de mouiller leur petite culotte tout aussi discrètement.
Dans cette soirée donc, je buvais et dansais beaucoup : avec les filles de ma bande de copains ou avec leurs mères, ou encore avec des voisines.
Des slows plus ou moins collés, plus ou moins agréables en fonction de la cavalière.
Je ne regardais pas spécialement Manon, ma soeur. Je la croisais de temps en temps en passant d'un groupe à l'autre.
Elle aussi dansait avec l'un et l'autre et buvait plus que de raison.
Ah si : j'avais bien remarqué un slow pendant lequel elle me paraissait très collée à Pierre, notre voisin d'en face !
Je m'étais fait la réflexion qu’il ne devait pas s'embêter, le salaud, à sentir les gros nichons de ma seurette pressés contre son torse...
À un moment, nous devions changer de cavalière et je me retrouvai par pure hasard dansant avec ma soeur.
Elle s'est accrochée à mon cou avec un grand sourire en collant son bassin contre le mien...
Et je dois dire que la réaction ne s'est pas fait attendre : une "trique" énorme !
Ben oui… frangine ou pas frangine, quand on a 40 ans et qu'une femelle de 18 ans se colle à vous, eh bien... on bande !
En tout cas, moi, j'ai bandé.
Cela n'a pas gêné Manon qui a continué à se tenir serrée contre moi jusqu'à la fin du slow en profitant de la pénombre.
Vers 3h du matin, nous sommes rentrés chez nous à pied ; d'abord en groupe puis seuls, tous les deux, pour la dernière partie du trajet.
Une nuit sans lune, dans un chemin de campagne en ayant un peu – euh... beaucoup – bu.
Je crois que c'est ma soeur qui m'a demandé d'abord de lui donner la main pour la guider et l'empêcher de tomber...
Cela ne l'a pas empêchée de trébucher juste en arrivant chez nous dans le salon.
Je l'ai rattrapée par la taille et nous nous sommes retrouvés face à face, ses mains sur mes épaules et les miennes autour de sa taille...
D'un mouvement quasi-instinctif, je l'ai serrée contre moi et mes mains ont caressé ses fesses au-dessus de sa robe.
Elle a mis quelque temps à comprendre et à réagir.
– Mais... Mais qu'est-ce que tu fais ?
Elle le savait bien, ce que je faisais : je pelotais son cul.
Mais c'était trop tard : plus rien ne pouvait m'arrêter.
Excité par cette soirée, énervé d'avoir bandé sans arrêt, ma queue réclamait une chatte pour se soulager.
Et la seule chatte disponible, c'était celle de ma petite soeur.
Je n'ai pas pris la peine de lui répondre.
Mes mains ont répondu pour moi.
Ma main droite est allée explorer sa poitrine pendant que la gauche se glissait entre ses jambes.
– Mais tu es fou... Arrête !
Toujours pas de réponse.
Je n'avais rien à lui dire. Je n'avais qu'une nécessité : baiser la première fille venue et me vider les couilles pour me sentir mieux.
Pauvre petite soeur qui essayait de se débattre et de se dégager...
Pas évident, en tenant à peine debout, et de plus contre un gaillard plus grand qu’elle !
En essayant de se dégager, elle manqua de tomber... et se rattrapa à moi.
Pendant ce temps, mes mains étaient devenues de plus en plus curieuses : elles lui caressaient les cuisses, sa fente, s'incéraient dans son orifice intime de jeune femelle...
– Non ! Non ! Pas ça... Pas ça...
- Tiens ! Elle avait compris où je voulais en venir ?
Etrangement, elle parlait à voix basse, dans un filet de voix. Elle n'appella pas au secours alors qu’il y avait nos parents à l'étage ...
– Non... Pas ça... C'est de l’inceste !
Elle pensait peut-être que le mot allait me faire peur... Mais rien ne pouvait me faire peur, à ce moment-là...
Je glissai un doigt sur son slip... et je sentis que c'était humide.
Et là, je compris que j'avais gagné : la jeune femelle était trempée... et avait envie de se faire baiser.
Je l'entraînais dans sa chambre...
