Sexe Minettes

 

Depuis ma séparation avec Gégé, j'ai un vide. D'abord dans la tête : son absence ne me permet plus de bavarder de n'importe quoi. Ensuite, dans mon bas-ventre.

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J'ai la nostalgie de ce que nous faisions. Ce n'était pas grand-chose, à peine du touche-pipi, mais au moins nous nous branlions et j'éjaculais sans peur dans sa main.

J'aurais bien voulu lui faire l'amour : mais cette fille est très pudibonde. 

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J'ai pu la joindre par téléphone sur son lieu de travail pour échanger les lettres nombreuses que nous nous sommes écrites. Le rendez-vous est pour le lendemain à 18 heures en bas de la rue de Varenne...

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D'un côté, je suis satisfait de la revoir et, de l'autre, il me tarde que tout cesse une bonne fois pour toutes.


J'arrive un peu en retard ; elle m'attend avec ses grands yeux bleus, sa poitrine agréable à peloter et le reste qui me fait bander quand j'y pense.
Elle tient un petit paquet ; mes lettres, sans doute.

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Nous sommes gênés quand nous nous disons bonjour. Nous arrivons après hésitation à nous faire une bise sur la joue, ce qui n'engage à rien.

C'est elle qui attaque :
– C'est totalement bête, ce que nous faisons.
– Tu as raison ; c'est idiot.

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Je crois que nous ne parlons pas de la même chose. C'est elle qui me prend par le bras pour me conduire dans le jardin public tout proche.

Nous nous asseyons sur un banc. Je lui tends ses lettres ; elle me donne les miennes avant de les reprendre.

Gégé me tend ses lèvres. Comment lui résister ?

Je l'embrasse. Sa langue entre dans ma bouche pour un long baiser.

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L'habitude, sans doute, me fait poser ma main sur son genou. Je retrouve le galbe de ses jambes à tel point que ma main monte encore vers sa chatte. Je tombe sur sa culotte, que j'écarte.


– Attends, je vais l'enlever.


Pour la première fois, c'est elle qui propose d'aller plus loin. En se tortillant, elle arrive en levant sa jupe à se débarrasser de sa culotte. Je reviens à l'endroit où j'étais pour trouver rapidement ce que je cherchais : sa choupinette offerte.

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Je peux faire comme je veux, ce que je veux. Je ne m'en prive pas. Ma main est entièrement posée sur tout son sexe. Il est mouillé au possible.


Sans que je le lui demande, elle pose sa main sur ma queue, sur le pantalon. Elle arrive plus ou moins bien à défaire le bouton du haut et à descendre la fermeture Éclair. Elle entre en cherchant une solution pour dégager ma bite.

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Ce n'est pas très commode : je bande fort. Elle y arrive enfin toute seule. Elle la prend en entier dans sa main. Elle commence à me branler. Je la laisse faire un instant. J'ai toujours envie d'elle.


– Je te veux en entier dans mon lit…
– Tu ne penses qu'à ça !
– Oui ; pas toi ?
– Si, des fois.
– Et maintenant ?
– Oui, je veux bien.

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Je sors ma main de sa jupe, rentre ma bite, et prends Gégé par le bras pour l'emmener chez moi. Ce n'est qu'à cinq minutes. Nous nous arrêtons souvent pour nous embrasser.

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Enfin seuls, je peux la caresser en la déshabillant. Elle se laisse faire avec plaisir, semble-t-il. Elle m'étonne beaucoup quand elle commence à déboutonner ma chemise et mon pantalon. Je suis nu presque aussi vite qu'elle.

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Nous nous embrassons debout, bien enlacés, corps contre corps. Pour la première fois, elle sent ma bite contre son ventre. Elle ne connaissait rien à l'amour ; la voilà qui se réveille en prenant ma bite pour me branler normalement.


Toujours debout, je passe ma main sur sa chatte bien mouillée. Je découvre enfin une femme avec ses désirs, ses besoins. Je la fais coucher sans problème. Elle écarte même les jambes.

Je voulais la baiser : je la suce. Je connaissais le goût de sa chatte puisqu'il m’arrivait souvent de lécher mes doigts après l'avoir faite jouir. Mais là, j'ai son goût directement sur ma langue.

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Je découvre tous ses trésors. Son clitoris me semble plus gros que quand je la branle. Ses lèvres sont moins grosses. Je découvre enfin une nouvelle femme. Ma langue passe partout. Je sens qu'elle mouille beaucoup. Je lèche juste l’orée son vagin, mais sans y entrer. Je vais bien plus bas en laissant ma langue traîner tout le long, jusqu'à son anus.

C'est une découverte pour nous deux. Je n'avais jamais pu aller poser un doigt à cet endroit : elle ne l'aurait jamais permis. Je frôle son cul plusieurs fois avant d'entrer à peine une phalange : résultat, je la fais jouir, à son grand étonnement. Pourtant, elle savait que je l'enculerais un jour. Voilà une bonne trouvaille.

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Je reviens sur sa chatte pour lécher et avaler son clitoris. Elle se cambre sous le plaisir qui monte et pousse un cri de surprise quand elle jouit encore.


– Viens me la mettre !
– Déjà ?
– Oui, j'en ai besoin.


Ainsi, elle a besoin de ma queue dans son con. Pourquoi ne l'a-t-elle pas dit bien avant ?

Je vais sur elle sans l’écraser. Je me tiens sur les avant-bras. Je guide ma pine. Quand je suis sur le point de la pénétrer, je lui demande de se décontracter totalement. Il me semble qu'elle le fait.

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J'entre très lentement sans qu'elle ne dise quoi que ce soit. Elle pousse un petit cri quand je brise son hymen. Ouf ! Elle n'est plus vierge : à 22 ans, il était temps !

Je prolonge ma pénétration jusqu'au plus profond. Je sens le bien-être de la baise autour de ma bite. Je m'agite lentement, puis un peu plus vite.


Arrive le moment où elle réagit à sa façon : elle accompagne mes va-et-vient, me disant que c'est bon. Je continue de plus en plus vite. Je ne peux me retenir : je jouis au fond de son ventre. Je reste coincé un instant ; je n'ai pas envie de quitter son abri chaud.

J'ai raison : je sens ses spasmes de jouissance ainsi que son petit cri :
– Tu me fais jouir encore !

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Seulement, je débande ; normal. Elle en veut réellement encore. Elle ne sait pas comment faire, alors elle se débrouille en prenant ma queue dans sa bouche.

Elle ne savait pas comment faire une fellation, sinon par ouï-dire. Elle n'hésite pas à lécher ma colonne, me caresser les couilles et passer un doigt vengeur vers mon cul. Pour une ex-vierge, elle sait comment faire !


Je pourrais la baiser encore une fois. Ce qu'elle veut, c'est ma bite dans son cul. Là, je n'ai rien contre une sodomie. Elle reste sur le dos ; pour moi, c'est moins commode.

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Elle prend ma bite à pleine main pour la guider vers son anus. Il est tout mouillé. Ce sera plus facile.

Quand je suis bien sur son cul, elle me demande de la pénétrer. De fille presque sage, elle se transforme en catin.


Je n'ose pas trop entrer de peur de lui faire mal. Pourtant, elle jouit encore rien qu'en sentant mon gland contre son anus. Je n'hésite plus : j'entre doucement en écartant ses chairs, son anus, tout son cul vers le fond.

Je décide de prendre le plus possible mon temps, tellement son cul est agréable. Je glisse facilement dans ses boyaux. Je lui propose de se branler pour accentuer son plaisir éventuel.

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Elle écoute religieusement mes propositions. C'est ainsi qu'elle se branle devant moi qui l'encule. Pour notre première baise, elle se débrouille très bien pour trouver son plaisir et le mien.


C'est de plus en plus relevé. Surtout pour elle qui découvre un tout qui n'a qu'un seul but : le plaisir. Elle est tellement chaude qu'elle me fait jouir dans son cul. J'éjacule un long moment.


 

 

Gégé en veut encore : cette fois, elle se satisfait seule. Je regarde sa main aller et venir sur sa moule. Tout son abricot est mouillé jusqu'à son anus. Elle reçoit un orgasme par sa main sur son bouton ; elle continue sur son anus. Elle n'y enfonce qu'un seul doigt.

Je regarde ce qu'elle se fait : son doigt entre et sort entièrement. Son cul se referme à chaque fois pour s'ouvrir à nouveau. Son regard révulsé montre la qualité de plaisir qu'elle se donne.


Elle commence à parler en se branlant :
– Que c'est bon, mon Dieu, que c'est bon ! Je ne pensais jamais devenir comme je suis, une truie, une salope, une putain, une… Je jouis encore. J’en veux dans le con. Baise-moi vite !


Que faire quand une femme vous demande d'être votre proie ? Pour ma part, j'obéis.

Changement de style : c'est elle qui vient sur moi. Assise sur ma bite, elle fait des va-et-vient. Elle se penche en arrière pour se branler.

Décidément, elle y prend goût alors que, jusque là, elle me jurait qu'elle n'osait pas se toucher...

 

Mer 16 jui 2014 Aucun commentaire