Sexe Minettes
Moi je ne suis pas le genre de fille à m'en laisser conter, encore moins à me laisser impressionner.
Je fais ce que je veux et quant je le veux.
Là je téléphone à mon petit copain.
J'ai envie de faire l'amour rapidement, aujourd'hui.
Je lui impose d'annuler ce qu'il avait prévu de faire avec ces copains.
Je lui donne rendez-vous pour ce soir chez moi.
Mes parents seront absents..
C'est le moment que choisit mon beau-père pour venir m'emmerder avec une lettre recommandée qui lui apprend qu'il va devoir renflouer mon compte banacaire vraiment trop dans le rouge...
Je m'en fout moi de ça.
Je l'envoie balader sans ménagement...
Comme à chaque fois que ce connard m'adresse la parole !
L'enfoiré me menace de me punir si je ne suis pas plus correcte avec lui, si je ne réagis pas mieux face à la situation.
J'en ai rien à foutre.
D'abord, il n'a rien à me dire : c'est pas mon père !
Merde ! Mais c'est qu'il me menace vraiment, ce grand con.
Je vais lui mettre ma main à la gueule.
Il me fout quant même les pétoches, ce pourri !
Avec son regard menaçant, ses traits crispés, ses poings serrés.
Je suis peux être allée trop loin dans la provoc, cette fois !
Mais qu'est-ce qu'il fout, ce vicelard !
Il m'agenouille de force et baisse son froc.
Je me débats, mais il est plus fort !
Ce dégueulasse profite que ma mère soit pas là.
Il arrache mes vêtements sans écouter mes protestations véhémentes et fourre sa bite tendue dans ma bouche.
Je ne veux pas sucer. Je lutte de toutes mes forces pour ne pas le faire.
Mais c'est lui qui organise le va en vient de sa grosse pine dans mon gosier.
Je le hais encore plus qu'avant ce fumier.
Il me redresse et me pousse contre la table.
Je suis offerte à ses instincts sexuels bestiaux...
Aussitôt il pousse son engin dans ma chatte serrée qui ne peut que se dilater sous la pression brutale de son membre viril en pleine érection....
Il me fait mal.
Il pilonne sévèrement mon orifice féminin en grognant comme une sale bête, en poussant de grands cris ridicules.
Connard, tu peux me violer, je ne t'apporterais pas la satisfaction supplémentaire de me voir chialer.
Je prends ta queue dans mon vagin avec le plus grand des mépris.
Je me fais violer sans montrer ma détresse et ma rage de gamine abusée...
Il me fait mal, ce dégueulasse. Je souffre par mes intités de jeune fille...
En même temps je me dégoûte d'éprouver une forme de plaisir malsaine à me faire niquer de la sorte comme la dernière des pétasses.
J'ai la chatte trempée de foutre.
Mon beau père s'en rend compte en cognant toujours plus fort au fond de mon trou de femelle.
Il doit se fiche de moi.
Me mépriser au plus haut point !
Je n'ai pas la force de résister lorsqu'il veut éjaculer dans ma bouche et sur mes seins.
J'ose encore jouer la minette provoquante pour ne pas montrer ma honte.
Cependant j'en ai gros sur la patate, comme on dit.
Le sperme que ce mec vicieux me crache dessus me dégoûte...
Je me demande comment ma mère peut le supporter.
Et dire que je ne pourrais bien ne rien lui révéler de cette agression...
Pendant qu'il remets tranquillement, sa chose faite, avec une mine satisfaire, je garde quelques forces pour le défier jusqu'au bout.
Mais il m'a humiliée, salie.
J'ai peur de lui maintenant.
Je reste un moment allongée, nue, à même le sol, les larmes aux yeux...
Il m'a domptée de la pire des manières le salaud...