Sexe Minettes
J'ai 18 ans aujourd'hui et je me prépare dans ma chambre pour fêter mon anniversaire.
J'ai invité plein de copines et de copains qui m'attendent dans le séjour en présence de mes parents.
Soudain cet inconnu entre par la fenêtre.
Je suis tellement stupéfaite que je ne parviens à faire aucun geste, à ne pousser aucun cris.
Tout de suite il se jette sur moi et m'immobilise en me faisant mal.
Je suis entièrement nue. l'intrus m'attache contre le mur et se déshabille. Il a une cagoule sur la tête. Je ne peux pas le reconnaître, ce qui accroit encore mon angoisse...
L'inconnu par derrière se saisit de moi sous les bras en agrippant mes seins pour m'empêcher de résister.
Il étouffe difficilement un cris de jouissance lorsqu'il éjacule dans mon cul bouillant. Je crois en avoir fini, mais non... Il me force encore à le sucer.
L'inconnu me libère un instant pour m'allonger sur le dos et m'attacher à nouveau, les jambes en l'air, les cuisses écartées, mon vagin et mon anus à sa merci... Le salaud alterne ses pénétrations brutales dans mes orifices, les maltraitant à grands coups de boutoir. Ses couilles chaquent contre mes intimités. Il force comme s'il voulait aller toujours plus profond en moi..
Lorsque j'ai avalé son jus épais et chaud. Il me fais promettre de ne rien dire s'il me libère. Je n'ai pas le choix. Il repart ensuite pas la fenêtre, me laissant à demi évanouie, sans force, humiliée. Je vais vite reprendre une douche, me remaquiller et rejoindre les autres à côté comme si rien ne s'était passé. Je ne sais pas qui est mon agresseur, un de mes invités ou un voisin sans doute...
Je suis entièrement nue. l'intrus m'attache contre le mur et se déshabille. Il a une cagoule sur la tête. Je ne peux pas le reconnaître, ce qui accroit encore mon angoisse...
Je ne veux pas prendre son sexe dans ma bouche, mais il me force à le faire. Il l'enfonce au fond de ma gorge à m'en faire terriblement souffrir, à m'en faire perdre le souffle. je sens mon coeur se soulever. Je manque de vomir. Des larmes sortent de mes yeux coulent sur mon visage, laissant les traces de mon maquillage sur mes joues.
Comme je ne suis pas suffisamment ardente à son goût, il me frappe sauvagement. Chaque coups claquent sèchement sur mes fesses. J'ai trop mal. Et ne ne peut pas exprimer la souffrance. Les invités que j'entend parler et rire juste à côté ne prêtent pas attention aux claquements qui zèbrent ma peau.
L'inconnu par derrière se saisit de moi sous les bras en agrippant mes seins pour m'empêcher de résister.
Il fait mal à ma petite poitrine de jeune fille. Il me plaque contre le mur et m'attache méchamment, sans égard pour ma souffrance. Il entre une boule dans ma bouche. Même si j'en avais la présence d'esprit je ne pourrait plus appeller à l'aide maintenant ! Très vite je sens qu'il entre en moi. je tente de résister, de l'en empêcher, mais mon anus cède malgrè moi sous la pression de son gros engin durci par le désir de me posséder.
Il me sodomise sauvagement. Il est sans pitié pour ma douleur et ma fierté bafouée de jeune fille n'ayant encore jamais subit un tel traitement.
Il étouffe difficilement un cris de jouissance lorsqu'il éjacule dans mon cul bouillant. Je crois en avoir fini, mais non... Il me force encore à le sucer.
L'inconnu me libère un instant pour m'allonger sur le dos et m'attacher à nouveau, les jambes en l'air, les cuisses écartées, mon vagin et mon anus à sa merci... Le salaud alterne ses pénétrations brutales dans mes orifices, les maltraitant à grands coups de boutoir. Ses couilles chaquent contre mes intimités. Il force comme s'il voulait aller toujours plus profond en moi..
Il me retourne pour me positionner encore différemment, me forçant à tendre mes fesses en souffrance face à lui. Il me baise encore comme une moins que rien par le vagin, comme une petite putain des rues, par l'anus... Il décuple son plaisir en me faisant mal.
Puis il fait comme il en a envie et décharge le contenu de ses couilles dans ma bouche...
Lorsque j'ai avalé son jus épais et chaud. Il me fais promettre de ne rien dire s'il me libère. Je n'ai pas le choix. Il repart ensuite pas la fenêtre, me laissant à demi évanouie, sans force, humiliée. Je vais vite reprendre une douche, me remaquiller et rejoindre les autres à côté comme si rien ne s'était passé. Je ne sais pas qui est mon agresseur, un de mes invités ou un voisin sans doute...
Sam 27 sep 2014
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