Sexe Minettes
Dans le noir, j'ai ouvert le lit et me suis allongé. Il était chaud. En tâtonnant, j'ai senti une peau douce : il y avait quelqu'un dans mon lit !
J'ai allumé ma lampe de chevet : surprise, c'était ma belle fille ! Je l'avais certainement réveillée, mais elle me dit, en entourant mon cou de ses deux
bras.
— Bonjour, mon papounet chéri ! Je n'arrivais pas à dormir et j'avais froid dans mon lit. Je suis venu dans le tien. Viens, ajoute-t-elle en se découvrant.
Là, je ne comprenais plus du tout, mais ça me faisait un sacré effet. Elle aussi était toute nue.
On aurait dit la copie conforme de sa mère, avec ses longs cheveux noir corbeau, ses yeux verts, ses seins parfaits qui appelaient la caresse, son petit buisson d'amour assorti à ses cheveux et, au milieu de son triangle sombre, une petite fente qui m'a semblé humide.
Je me suis mis instantanément à bander comme un cerf, tout en lui disant :
— Mais…
Je n'ai pas eu le temps d'en dire plus long. Elle m'a attiré contre elle, puis sur elle et, si je n'avais pas fait un peu attention, je me serais retrouvé dans
elle!
Je m'imaginais bien mon air ahuri quand je lui ai répété ce que je n'avais pas pu lui dire :
— Mais enfin, ma chérie, qu'est- ce que tu fais là ?
— Je viens de te le dire, papa, j'avais froid dans mon lit.
— Mais tu étais seule aussi dans le mien !
— Ce n'est pas pareil.
Je me suis un peu éloigné d'elle, histoire de tenter d'arranger ce que j'appelais intérieurement « mon cas », mais impossible de m'empêcher de bander.
En moi, c'était un combat infernal : d'un côté, j'avais dans mon lit une fille sublime, une beauté resplendissante, qui de plus ressemblait à sa mère que j'avais tellement aimée comme deux gouttes d'eau, de l'autre côté c'était ma belle fille. Je n'allais tout de même pas baiser la fille de ma femme!
Elle m'a susurrée :
— Et puis, tu sais, papa, je voudrais que tu m'apprennes l'amour !
Seigneur ! en plus, elle me demandait de la dépuceler.
Je lui réponds :
— Mais, ma chérie, est-ce que tu te rends compte de ce que tu me demandes ?
— Oui, papa, mais tu est la personne que j'aime le plus au monde. Et puis, tu sais, je ne suis plus vierge !
Et ma belle fille me dit ça tranquillement, comme si c'était une évidence. Je devais avoir l'air con : la nouvelle m'est tombée dessus comme un coup de massue sur la tête. Du coup, j'ai débandé.
J'essaie de prendre un ton courroucé :
— Quoi ? Mais… avec qui ? Et tu ne prends pas la pilule !
Elle se met à rire et, s'apercevant que j'ai un peu débandé, elle entoure ma verge de ses deux mains.
Je n'ai aucun mouvement de recul et je me morigène intérieurement, en me disant que je devrais m'arracher à ce doux étui qu'elle me fait. Au lieu de cela, comme un pauvre mec complètement dépassé par les événements, je la laisse faire.
Ma queue reprend une forme olympique, sous son regard intéressé et elle m'apprend :
— Rassure- toi, papa, je ne risque rien ! C'est Émilie !
— Quoi ? Mais…
— Tu sais, il y a deux ans qu'on fait l'amour, toutes les deux !
Là, je suis complètement dépassé. Merde, ça fait deux ans qu'elle couche avec ma propre fille et je ne me suis aperçu de rien.
Elle continue, sans me lâcher, simplement en me tenant entre ses mains chaudes, ce qui est loin de me faire débander :
— Tu sais que maman se fait du bien toute seule lorsque tu n'es pas là?
— Non, je l'ignorais.
— Eh bien, un jour, alors que nous avions commencé à nous faire l'amour toutes les deux, Émilie m'a dit : « Je vais te montrer quelque chose que j'ai
trouvé en fouillant dans la chambre de ta maman ! »
J'ai répondu à la gamine :
— Eh bien c'est du propre. C'est quoi ?
— Émilie est revenue avec un gros godemichet fixé sur une espèce de ceinture et un gros tube d'une espèce de vaseline parfumée. Émilie m'a appris que, comme ma mère était trop seule parfois, elle avait dû trouver ça pour calmer ses ardeurs. On a bien rigolé toutes les deux avec, puis au bout d'un moment on a décidé de se dépuceler mutuellement. Alors, tu peux venir dans mon ventre, d'autant plus que maman nous a surprises un jour Emilie et moi au lit. Elle nous a juste un peu disputé et elle nous a donné la pilule, qu'on prend depuis quinze jours, depuis mon anniversaire, en fait. Mais on n'a encore jamais couché avec un garçon. Voilà tout.
— Voilà tout, tu dis ? Mais…
Je n'ai pas eu le temps de dire autre chose. Elle m'a de nouveau attiré sur elle. Elle a écarté ses cuisses puis m'a serré dans ses bras. Elle a glissé une main entre nous deux, a ressaisi mon pénis et a frotté mon gland contre l'entrée de son vagin qui n'avait pas encore connu l'homme.
Ça m'a fait un de ces effets : la peau sensible du bout de mon méat et de tout mon gland contre l'humidité du sexe de ma belle fille, c'était dément !
Là, je me suis conduit comme un idiot, enfin, un idiot qui se laissait mener par le bout de sa queue. Je n'ai pas résisté. D'une lente poussée, je me suis enfoncé dans elle en lui caressant les seins.
Elle a gémi puis m'a serré de toutes ses forces en me disant des « Je t'aime » éperdus dans l'oreille.
J'avais l'impression que mon sexe était dans une petite fournaise complètement trempée. C'est elle qui a donné le premier coup de reins en posant sa bouche sur la mienne.
J'étais en transes. Je n'étais plus un père en train de baiser sa belle fille, j'étais un homme qui faisait l'amour à une jeune femme splendide et qui voulait la faire jouir. Nos lèvres se sont scellées les unes aux autres. Nos langues se sont battues à l'intérieur de nos bouches.
Ses cuisses se sont resserrées autour de mes reins et j'ai commencé à faire des aller- retours de plus en plus rapides. Moi aussi ,je l'ai serrée dans mes bras tant que j'ai pu.
Elle pleurait - j'ai compris plus tard que c'était des larmes de bonheur - j'ai eu peur de lui avoir fait mal.
Je me suis arrêté, mais elle a lancé son ventre très fort à la rencontre du mien en hurlant :
— Oui, mon amour ! Encore, va bien au fond, va fort ! Cogne au fond ! Remplis-moi bien !
Dès lors, je n'ai plus eu de limite : elle en voulait, elle allait en avoir ! Je variais ma cadence, elle ruait en allant à ma rencontre. Son petit vagin quasi vierge commençait à faire comme celui de Christine. C'était fabuleux.
La gamine courait d'orgasme en orgasme, jusqu'au moment où, pour la première fois de sa jeune vie, elle a reçu mon sperme en elle.
Lorsque j'ai eu fini mon interminable éjaculation, je me suis effondré sur elle, qui était aussi inerte que moi. Elle m'a passé tendrement sa main dans les cheveux, avec exactement le même geste qu'avait sa mère.
Elle m'a dit :
— Merci, mon amour de papa ! Si tu savais comme je suis heureuse !
— Moi aussi, ma chérie ! Mais qu'allons-nous devenir ?
— Je vais être ta nouvelle femme, nous allons faire l'amour tous les jours. Et puis tu apprendras aussi à Émilie, ta fille.
Je n'avais pas quitté son ventre. Je me suis redressé sur les avant-bras et je lui ai demandé :
— Quoi ? Mais, ma chérie !
— Elle est aussi amoureuse de toi, papa ! Et c'est mon amie, ma meilleure amie, ma seule amie, d'ailleurs.
— Mais…
— Il n'y a pas de mais, tu lui feras l'amour à elle aussi. Et d'ailleurs…
Elle ajouté, en criant un peu :
— Viens avec ton père, Émilie !