Sexe Minettes
Cela faisait trois mois que je n'avais pas payé mon loyer et mon proprio a commencé à menacer de me mettre à la porte.
Les promesses ne suffisaient plus.
Lorsque je l'ai vu à la porte de mon appartement, alors que je n'avais pas un sou en poche, j'ai vraiment commencé à flipper.
Que faire, ce n'était pas mon genre de m'enfuir en douce pour ne revenir qu'après son départ.
Mes parents ne m'avaient pas habitués à ce genre de comportement. Dans ma famille, on assume ses responsabilités quel qu'en soit le prix.
L'homme n'était vraiment pas content ! A peine entré, il m'ordonna de rassembler mes affaires.
" Il faut partir puisque vous n'avez pas pu honorer vos engagements."
Je réalisais que j'allais me retrouver à la rue d'une minute à l'autre.Je me mis à le supplier de ne pas agir de la sorte.
Voyant qu'il commençait à prendre mes affaires pour les mettre dehors, je m'agrippais à lui en le suppliant.
Je lui promettant que je ferais tout ce qu'il voudrait s'il acceptait de patienter encore, le temps que je me refasse une santé financière.
Mes paroles semblèrent soudainement l'intéresser car il posa mes affaires avant de s'écrier :
" Bon, il y aurait bien une solution, mais c'est à toi de voir."
Dites moi vite ce que vous voulez que je fasse, je ne veux pas me retrouver à la rue.
L'homme ferma la porte puis se dirigea vers un des fauteuils du salon.
Il s'y installa tranquillement, un sourire bizarre aux lèvres puis me dit en me déshabillant du regard:
" Viens par ici !"
Je prenais place à mon tour sur le canapé en face de lui.
Il me regarda, me détailla des pieds à la tête avant de me lancer :
T'es vraiment un beau brin de fille tu sais. Si tu voulais être gentille, on pourrait régler cette histoire de loyer sans trop de problème....
Je réalisais tout à coup ce que je lui avais laissé entrevoir en disant que j'étais prête à faire tout ce qu'il voulait. Je ne savais pas comment réagir, quoi
dire.
Mon propriétaire me sentant hésitante, renchérit d'une voix autoritaire :
" Décides-toi tout de suite ma jolie. Quand je me lèverais de ce fauteuil, l'arrangement ne tiendra plus."
Je le regardais dans les yeux.
Il s'apprêtait à se lever pour partir, quitter l'appartement en m'enfuyant.
J'essayais de réfléchir à toute vitesse, mettre un peu d'ordre dans mon esprit.
Mon propriétaire se levait déjà.
Affolée, je m'entendis lui dire :
"Arrêtez, arrêtez, restez, c'est d'accord. Qu'est-ce que vous attendez de moi ?"
Tout s'enchaîna alors très vite.
Il me força à me mettre debout, là sur place, au milieu du séjour. En mettant sa langue dans ma bouche, il commença à me caresser sous mes vêtements, à écraser mes seins entre ses doigts à pénétrer de la main mon sexe.
Brisée par l'émotion et la honte je l'écoutais à peine me susurrer ses commentaires vulgaires.
Je m'exécutais comme une automate à chacune de ses exigences secuelles...
C'est ainsi que je me suis retrouvée, les deux jambes écartes sur les accoudoirs d'un des fauteuils, la jupe relevée jusqu'à la taille, mon proprio, à genoux entre mes cuisses, son regard vissé vers mon entrejambe protégé par une minuscule culotte en coton.
" Ecartes ton slip sur le côté que je puisse voir ta chatoune."
J'obéissais.
Je détournais, gênée au plus haut point, mon regard de celui chargé de désir de ce vicieux.
Je réalisais tout à coup avec encore plus de honte que cet avilissement m'excitait complètement.
Des fourmillements caractéristiques se manifestaient dans mon bas-ventre.
Le fait de ne pas avoir d'autre alternative que d'obéir, me laissait entrevoir un côté obscur de ma personnalité dont j'ignorais l'existence.
"T'as une jolie petite moule, bien appétissante. Elle me donne envie de la sucer."
Joignant le geste à la parole, il avait déjà plongé sa bouche vers mon entrejambe.
J'essayais d'échapper au contact de la langue s'insinuant entre mes lèvres vaginales mais c'était peine perdue.
Ses deux mains fermement posées à plat sur l'intérieur de mes cuisses m'empêchaient tout mouvement.
Visiblement habitué à pratiquer cette caresse, l'homme ne mit pas longtemps à débusquer mon clitoris qu'il se mit à lécher, sucer, le faire rouler sous sa langue jusqu'à faire bander mon bouton de femelle comme une petite bite.
J'essayais désespérément de penser à autre chose, des trucs désagréables mais sans succès.
Les spasmes de mon clito se propageaient dans tout mon corps, de mon bas-ventre à mes reins pour remonter le long de ma colonne vertébrale et atteindre mon cerveau.
Je m'en voulais de céder à l'appel du plaisir, ne pas être capable de résister, refuser ces sensations qui inexorablement s'emparaient de mon corps, mon esprit, ma volonté.
Il m'avait enfiler un puis deux de ses doigts dans la chatte. Ils coulissaient sans difficultés dans mon orifice en émettant des bruits obscènes mais excitants.
En quelques secondes, je n'étais plus qu'un sexe, un gros sexe fait pour jouir.
Je ne voulais pas qu'il m'entende gémir, prendre du plaisir sous ses doigts, sa langue. Je saisissais un coussin derrière moi que j'enfonçais dans ma bouche en y plantant mes dents pour étouffer les sons qui s'échappaient de ma gorge.
Le plaisir était trop fort, les spasmes de mon fourreau plus puissants. J'aillais jouir. Il me suçait trop bien.
Le salaud jubilait, mon sexe parlait pour moi, serrant ses doigts comme dans un étau à chaque vague de plaisir.
Je me mis à jouir quand il se mit à gratter l'intérieur de mon vagin de plus en plus vite.
Fier de lui, il m'encourageait à me laisser aller.
"Jouis ma chérie, jouis, laisses-toi aller."
Un puissant orgasme me submergeait tandis qu'il se redressait pour me regarder jouir en
souriant.
"Oui. C'est bien ma petite pute. Ouiiiiiiiiiiii. T'es encore plus belle dans la jouissance."
Tous mes sens basculaient.
Je perdais pied, ma vue se brouillait. J'essayais désespérément de garder les yeux ouverts pour soutenir son regard mais impossible, la jouissance était trop forte. Je sombrais rapidement entre deux eaux. Les endorphines prenaient possession de moi. Je m'abandonnais aux habiles caresses de mon proprio sur mon ventre, l'intérieur de mes cuisses, mes genoux, mes seins,
C'était bon. Je m'abandonnais au bien-être de la jouissance, c'était fait de toute manière, autant en profiter pleinement. Je ne sais combien de temps je restais déconnectée du monde des vivants.
Quand j'ouvrais enfin les yeux, il était là, entre mes jambes, un énorme chibre à faire peur dans sa main.
Je n'avais ni la force ni l'envie de résister mais la taille de son engin me fit ouvrir des yeux ronds comme des billes sous l'effet de la surprise ce qui le fit sourire.
"T'as bien joui tout à l'heure ma chérie. J'suis sûr que tu vas aimer ça aussi."
Dans une seconde il allait m'embrocher.
Je sentais déjà son gland dans l'entrée de ma vulve. Je fermais les yeux dans l'attente de l'estocade.
Le morceau de chair s'enfonçait en moi, glissant dans mon fourreau inondé de mes secrétions intimes. Une lente progression que je n'aurais jamais imaginé quelques instants plus tôt.
"Hummmmmmmmmmmmm. T'es trop bonne. Ils en ont de la chance tes petits copains."
Ses commentaires résonnaient dans mes oreilles en même temps que le bruit de ses cuisses qui maintenant claquaient en cadence contre mes fesses.
Il me possédait, avait fait de moi, sa petite pute.
Au lieu de me débattre, d'essayer de me dégager de cette queue qui me bourrait le ventre, j'acceptais cet avilissement d'offrir mon corps, ma petite chatte à un homme qui aurait pu être mon père.
Sa grosse queue me faisait un bien fou. Il me fourrait en me donnant d'énormes coups de reins, son gland venant butter contre ma matrice à chaque fois.
Là encore j'essayais de détourner mon regard du sien pour qu'il ne lise pas dans mes yeux la montée du plaisir.
Car j'en avais, et c'était vachement bon.
L'homme savait se servir de son chibre alternant les coups puissants et ceux plus en profondeur très lents.
Je m'entendis gémir lorsqu'il se mit à me branler le bouton avec l'un de ses doigts.
Il allait encore me faire partir, le salaud, et il le savait.
Tout mon corps le renseignait.
"Tu vas encore jouir ma jolie. On peut dire que t'aime la bite, toi ! Si ça se trouve, t'as fait exprès de ne pas payer ton loyer pour t'en prendre plein la chatoune, espèce de coquine."
J'avais beau faire non de la tête, c'était vrai, un nouvel orgasme se préparait.
J'avais beau lutter, me concentrer sur autre chose, des vagues successives, de plus en plus rapprochées, fortes m'envahissaient le ventre, les reins. J'allais jouir d'une seconde à l'autre.
Ce salaud me faisait trop de bien. Quand il me traita de petite garce, de salope, j'explosais bruyamment, faisant fi de mon désir de ne rien lui montrer de mon plaisir.
"Aaaaaaaaaaaaaaaahhhhhhhhh salaud, salaud, vous me faites jouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiir."
"Oui petite pute. Ouiiiiiiiiiiii. Jouis pétasse, jouis. T'es trop belle quand tu prends ton pied."
Mon orgasme redoublait de violence en l'entendant m'insulter grossièrement, comme si j'étais une moins que rien.
Incapable de me contrôler, les yeux grands ouverts, presque hébétée par la violence du plaisir, je le vis en train de grimacer vulgairement, son sexe entièrement enfoncé dans le mien, me tenant par les hanches, satisfait.
Son regard lubrique sur mon corps, mon sexe, prolongeait mon plaisir.
J'aimais cette façon qu'il avait de me désirer, me posséder. Et ça me faisait peur...