Sexe Minettes

 

 

Tout se déroule lorsque nos parents ne sont pas là.

Je profite de la situation pour abuser de ma soeur.

Ce n'est pas que je la déteste, en temps normal, on s'entend même plutôt bien.

Mais j'ai souvent des envie de sexe.

En plus, involontairement sans doute, ma petite soeur me donne constamment envie de la maltraiter sexuellement et de la niquer...

 

 

 

Je récupère la frangine où qu'elle soit dans la maison et je l'entraine dans le séjour.

Dès que je l'aggrippe elle sait maintenant  à quoi s'en tenir.  

 

 

Elle se rebelle bien sûr, parce que, quant même, on est frère et soeur.

Cependant, c'est sans doute plus par principe qu'autre chose.

Et puis elle sait que je suis plus fort, que je vais la soumettre à mes envies de baise.

 

 

 

 

 

Je la jette au sol ou sur la table.

Et je la fiche à poil en l'immobilisant comme je peux car elle se débat comme une vraie furie, la petite pétasse.

 

 

Je l'attache le plus souvent pour qu'elle soit totalement à ma merci...

Puis je m'amuse à torturer son corps de gamine déjà bien formé pour son jeune âge.

 

 

Regardez !

Cette fois, je l'ai emballée comme un jouet sexuel et je l'empêche de respirer convenablement.

 

 

La première fois que je l'ai enculée, elle a poussé des cris qui ont résonnés dans toute la maison.

Elle en a chialée pendant au moins une heure.

 

 

 

 

Mais maintenant que je glisse ma bite entre ses petites fesses pour m'enfoncer dans son anus étroit et serré par l'appréhension, elle se laisse faire avec de petits cris.

Je lime férocement son fion à m'en claquer les couilles dans sa raie.

Elle souffle plus fort avec des ronronnements rauques de plus en plus courts de petite chatte en chaleur.

 

 

A chaque nouvelle séance de domination sexuelle, j'invente d'autres pratiques brutales et toujours plus perverses.

Nos baises sauvages la laissent épuisée, souillée, les orifices, le ventre, les seins douloureux à force d'être maltraités.

 

 

Je ne sais pas si elle aime ou pas, mais je m'en fout. Je prends mon plaisir comme je veux sans lui demander son avis.

 

 

Si nos parents savaient, ils deviendraient dingues !

Je sais que ma soeur ne leur dira jamais rien car je la soupçonne d'aimer les traitements si particuliers que je lui inflige...