Sexe Minette
Si jeunes, déjà salopes !
Du nouveau chaque jour, ou presque...
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Je l’embrasse et notre premier baiser exprime notre désir contenu toute la soirée.
- Tu es si belle, je t’ai aimée dès que je t’ai
vue.
- Tu es charmant, et j’ai eue envie de toi quand j’ai vu la
douceur de ton regard sur moi.
Je lui ouvre son chemisier, et libère ses seins.
Céline avait pris soin d’enlever son soutien- gorge avant de venir.
- Tu n’as pas de culotte non plus ? lui dis-je
?
- Non, petit coquin.
Je passe la main sous sa jupe, et j’atteints son abricot déjà humide.
Je passe deux doigts de part et d’autre de sa fente, dans le creux de l’aine, là où je sais que les filles adorent qu’on les caresse avant de titiller leur clitoris.
- Mmm, c’est bon, minaude-t-elle en avançant son bassin
et en tendant une main vers ma queue qui s’est frayé un chemin hors du peignoir.
Céline commence à me branler lentement, me regardant droit dans
les yeux.
C’est doux, tendre, et ses doigts qui enserrent ma tige viennent
buter sur le gland puis repartent vers mes couilles.
- J’ai eu le temps de me raser pour toi, lui dis-je, j’aime comme tu me caresses.
Mes mains ne restent pas inactives, l’une caressant ses seins,
l’autre s’enfonçant dans sa chatte ouverte.
Je n’en peux plus, alors je la bascule le ventre sur le bureau, lui soulève la jupe et plonge ma langue entre ses fesses, lui léchant la vulve et son œillet brun qui frémit.
- Dis-moi petit ange qui vient d’illuminer ma vie, on dirait
que tu as déjà eu quelques gourdins dans ton cul non ?
- Beau chevalier, je ne te cacherai rien. Oui, j’aime me
faire enculer. Et j’attends avec impatience de sentir ta queue en moi. Mais d’abord, tu me prendras la chatte sur le lit, en me bouffant les seins.
Je continue de lui lécher la raie cependant, enfonçant un peu ma
langue dans son petit trou.
Puis, pendant que je la porte sur le lit, je la déshabille
entièrement et ôte mes vêtements. Nos corps nus sont submergés de désir, d’envie de jouir.
Allongée, Céline écarte les jambes et entame une caresse sur son mont de vénus, descendant vers les plis de son sexe tout mouillé.
Je me branle en la regardant, c’est si beau une femme qui se donne du plaisir…
D’un signe, elle me demande, et je positionne mon sexe à l’entrée du sien.
J’aime ces premières fois, ce moment où la rencontre se fait vraiment, ou l’on va découvrir la joie du partage.
Et je m’enfonce en elle, lentement, la regardant avec intensité, pour savourer cet instant magique où elle se donne à moi pour la première fois.
Céline est belle, magnifique, ses seins se soulèvent d’excitation, ses lèvres sont un peu ouvertes, et je sais que bientôt elle mordillera ses lèvres.
Je vais, je viens, tout doucement, et elle gémit. Je lui mange un sein après l’autre.
- Plus vite, hombre, me lance-t-elle.
Alors je me relève et accélère mon rythme, et elle souffle son
plaisir, prenant ses seins et les malaxant pendant que je la pilonne fortement.
Soudain, elle se retire, se met à quatre pattes.
- Baise-moi puis encule-moi, fort !
Comment résister ! Son cul superbe s’offre, sa chatte ouverte
m’appelle, et je m’enfonce à nouveau fortement, lui prenant les hanches. Puis je crache sur son œillet brun qui palpite déjà dans l’attente de la saillie. Je pose mon gland sur son anus, et
m’enfonce d’un coup, sans prévenir.
- AHHHHH, tu me fais mmmmm… du bien, mon bel homme tout
neuf.
- Comme tu es bonne, comme ton cul est accueillant,
répond-je tout en lui mettant ma queue au fond du cul jusqu’aux couilles.
- EEEEEnnnnnccccooorrrre, c’est trop bon, ouiiiiiiiii, je te
sens bien.
Je deviens fou.
Je lui défonce le cul, agrippé à ses fesses, je ne vois plus que
ce trou qui en veut encore et encore, qui s’élargit sous mes coups, qui suinte le plaisir.
Et soudain, Céline jouit du cul, lançant un long râle qui doit
réveiller les voisins. Et moi, je décharge toute ma sauce dans ce cul, n’en laissant pas une goutte dehors tant je la pénètre profondément.
Calmés, nous nous allongeons sur le lit. Je la caresse,
l’embrasse dans le cou, lui susurre des mots doux.
- Je te veux, je veux vivre avec toi, tu es parfaite
pour moi.
- Mmmm, mais petit coquin, je suis mariée moi, et avec ton
meilleur ami !
- Mais, mais…
- Mais j’ai adoré cette séquence, et quand tu reviendras
chez nous, je saurai te remercier.
- Alors, c’était une baise sans conséquence ? Tu fais ça avec
tous les mecs qui te plaisent ?
- C’est le besoin des femmes , beau chevalier !
Et d’un bond elle se lève, se rhabille, et se dirigeant vers la
porte :
- D’abord, je ne le fais pas avec tous les hommes que je
croise. Seuls ceux qui m’attirent vraiment y ont droit. Et comme mon mari est trop distant avec moi, je m’autorise quelques escapades. D’ailleurs, une autre fois, peut-être viendra-t-il nous
mater en train de baiser. Cela te dirait ?
Abasourdi, mon amour tout neuf fracassé dès la naissance, je
reste sans voix.
- Je le sais que tu reviendras, et j’en ai très envie ! Je
suis même prête à me réserver pour toi, car tu m’as si bien fait jouir. Veux-tu devenir mon amant officiel ?
Qu’auriez-vous fait à ma place ?
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