je confiais à Julien, un bon copain à moi, que ma petite amie refusait obstinément le sexe anal, malgrès mes demandes pressantes.

D'un air espiègle, il me dit qu'il pourrait s'en occuper.

Au vu des sensations qu'il me procurait(je suis bi), j'étais à la fois gêné de lui confier Sylviane et en même temps intrigué.

« Tu pourras nous regarder faire, si tu veux... »

 

 

 

 

Intrigué et intéressé, j'invitais Julien à passer un week end avec nous à l'appart.

Sylviane aimait se prélasser  dans le canapé...

 

 

 

 

 

Dans l'après midi, mon copain me dit d'aller faire des courses en ville tout en me faisant signe que c'était un stratagème pour Sylviane.

 

 

 

 

 

A peine la porte refermée sur moi, Julien vint rejoindre ma chérie dans le séjour.

La jeune femme était allongée dans le canapé, les cuisses au trois quart découvertes.

Quand elle le vit arriver, elle rabaissa sa jupe dévoillant trop ses jolies jambes.

 

 

Elle se laissait aller parfois à des postures scabreuses, mais seulement quand elle était seule ou avec moi.

Julien lui fit remarquer que cela ne le gênait pas. 

Moi, rentré discrètement dans l'appartement, je regardais derrière une porte...

 

 

 

 

« Cela te dérangerait que je me mette nu ? » osa-t-il.

Timidement, Sylviane fit signe que non.

Julien se déshabilla donc.

Sylviane rougit. Elle avait remarqué le sexe entièrement épilé du garçon.

 

 

 

 

 

Julien sourit.

- Oui, je n'aime pas trop les poils, alors je m'épile. Tu aimes ?

- C'est amusant dit-elle d'une petite voix

– Et c'est très doux. Tu veux voir ? 

 

 

 

 

Il s'approcha d'elle.

Je ne savais pas comment il faisait pour ne pas bander. Tout avait l'air très naturel.

Du coup, Sylviane lui toucha le pénis.

« Le plus doux, ce sont les testicules dit-il. »

 

 

 

 

Elle les caressa donc à leur tour.

Cette fois, son sexe tressaillit, ce que ne manqua pas de remarquer Sylviane dont le visage avait tourné au rouge vif.

 

 

 

 

 

Ne sachant pas quoi faire, la petite garce tenait toujours le sexe de Julien dans sa main sans le regarder.

- Ce que tu me fais est très agréable.

- Oui, mais je ne devrais pas.

- Tu sais nous ne serons que tous les deux pendant quelques heures encore... et puis tes tétons pointent, tu es excitée, ça se voit. 

 

 

 

 

 

Sylviane avait les larmes aux yeux. Mais, à ma grande surprise, elle murmura un petit "oui" avant de prendre le sexe de Julien dans sa bouche.

Mon copain n'était que depuis cinq minutes seul avec ma copine et cette salope le suçait déjà. 

Pas en reste, Julien lui prit le soutif et lui enleva le bas du maillot. Il s'allongea sur elle pour un beau 69. Il ne s'occupait que de sa chatte, mais laissait couler abondamment de la salive entre ses fesses pour lubrifier sa rosette.

 

 

 

 

 

Je bandais comme un âne.

Voir ma copine coucher avec un autre homme m'excitait au plus haut point.

Il la prit en levrette.

Elle aimait beaucoup ça.

 

 

 

Il se retira une fois et dirigea son sexe vers son anus.

Il força fortement l'orifice anal avec son gland.

- Non arrête, pas par là.

- Pourquoi ?

- Parceque je ne veux pas, c'est tout !

- C'est bon aussi, je suis sûr que tu vas aimer...

- Non, je t'en prie, continue comme au début, c'est super, je t’assure.

- Ok ! dit-il dépité.

 

 

Julien recommença à pilonner Sylviane par le vagin mouillée

La jeune fille ondulait sous lui, prenant son pied. Sylviane mettait toujours beaucoup de temps pour jouir.

Au bout d'un moment Julien recommença son manège en drirection des fesses de Sylviane.

Il se retira de l'orifice vaginale et vint buter un peu plus violemment sur l'anus de sa partenaire.

La totalité de son gland est rentrée cette fois avant qu'elle puisse vraiment protester...

 

 

- Non, pas là, je t'en supplie !

Il resortit aussitôt du cul pour ne pas être rejetté définitivement...

– Excuse-moi, je n'ai pas fait exprès. Je suis sortit et j'ai mal visé. Je t'ai fait mal ?

- Non, mais je ne veux pas.

- Comme tu veux. Mais j'étais rentré, si tu n'as rien senti c'est que tu devrais aimer

– On verra plus tard...

 Ainsi, petit à petit il obtenait des concessions. Le non n'était plus aussi ferme qu'au début.

Il recommença à la limer par le cul, puis sortit et rerentra plusieurs fois dans le fondement de plus en plus dilaté.

 

 

La première fois, Sylviane s'était crispée, pensant qu'il allait encore essayer de l'enculer.

Après 4 ou 5 entrées-sorties successives c'est pourtant ce qu'il fit d'une manière définitive...

Sylviane s'était détendue, en confiance.

Et là il en a profité pour l'empaler jusqu'aux testicules.

- Non... - Laisse-moi faire. Je suis rentré complètement

– Hummmmm... gémit-elle .

 

 

Il venait en effet de passer sa main sur son clitoris. Planté en elle, il la branlait de la main droite tandis que la gauche pinçait un de ses tétons et qu'il lui mordait le cou. Il savait y faire le bougre.

Ayant amadoué la femelle, il commença des va et vient dans son cul.

Sylviane pleurait mais son corps répondait bien aux assauts de Julien.

Il accéléra soudain et elle se cambra en jouissant presque aussitôt. Julien poussa également un râle.

 

 

Il venait d'éjaculer en elle.

- C'était super dit-il ».

Sylviane acquiesça en venant se blottir contre lui. Elle faisait toujours cela après l'amour. Ca y est, elle n'était plus une vierge anale.

- Dis rien à mon mec, hien !

- Mais non, ma belle. Mais non...