Je m'appelle Alain, j'ai 47 ans. J'habite une grande ville dont je tairai le nom pour éviter les mauvais ragots de jaloux et de jalouses.

Je sors souvent avec un groupe d'amis qui, comme moi, aiment s'aérer certains soir après le boulot. 

Ce cercle d'amis, dans les mêmes âges que moi, s'élargit progressivement au grès de nos rencontres amicales.

 

 

 

 

 

Deux jeunes filles d'environ 18 ans en font désormais parties. Elles se sont jointes à nous grace au site de rencontre que nous fréquentons sur internet.

Elles s'appellent Doriane. et Patricia.. Mignonnes toutes les deux, elles ne m'attirent pas cependant pas particulièrement.

Je ne parle pas du physique, mais plutôt d'une barrière de l'âge. On n'a pas forcément les mêmes centres d'intérêts.

 

 

 

 

 

Néanmois, au fil du temps et des soirées durant lesquelles je les cotoie , je fais plus ample connaissance avec l'une d'entre elles, Doriane.

La jeune femme vient souvent vers moi pour me parler, se confier, avoir un avis…

Imperceptiblement, un rapprochement est en train de s'opérer.

 

 

Au lycée, elle a des difficultés dans certaines matières comme l'histoire, la géographie...

Ayant fait quelques études dans ce domaine à l'université, je me propose donc de l'aider.

Ainsi, elle vient plusieurs fois à mon studio pour travailler ses lacunes.

Tout se passait bien, sans sous-entendus jusqu'à ce jour. Elle me considérait comme son grand frère, et je la considérais donc comme ma petite sœur, sans ambiguïté aucune.

 

 

 

Mais cet après-midi de révision, après avoir travailler deux heures, on s'accorde une pause. 

Elle s'allonge machinalement sur mon lit.

Mon studio n'ayant qu'une pièce principale, c'est une banquette convertible qui fait office de lit, et ce jour-ci, un peu flemmard sans doute, je ne l'ai pas replié.

Je viens me mettre à côté d'elle, puis elle me demande ce que j'ai à manger.

Je lui propose de la crème au chocolat qu'elle ne refuse pas.

Une fois rassasiée, nous nous mettons à discuter de choses et d'autres, le tout ponctué par quelques fous rires.

Et c'est là que tout bascule…

 

 

 

 

De blagues en plaisanteries graveleuses, on commence à se chatouiller tous les deux et à chahuter avec des coussins. 

Selon celui qui prend le dessus, certaines positions en devennent excitantes.

La bosse contre mon bas ventre en témoigne de plus en plus visiblement. 

Lorsque tout à coup, Doriane. vient se placer sur moi, ses fesses juste en dessous de mon bassin...

Ce contact me met dans tous mes états.

 

 

Je lui en fais part de manière directe et lui dit : "arrêtes ! Tu me fais bander".

  Ma réaction brutale m'étonne. Jamais je n'aurais imaginé prononcer des mots aussi crus à une personne qui ne partage pas mon quotidien. 

Doriane, elle, me regarde droit dans les yeux en souriant, puis ondule du bassin pour vérifier mes dires.

Elle se penche sur moi et nos bouches se trouvent facilement. Elle continue à se frotter sur moi et je bande de plus en plus fort.

 

 

 

 

 

 

 

Pour une fille de 18 ans, elle sait y faire. 

Je plonge mes mains sous son pull et je prends ses seins à pleines mains pour les caresser (elle devait faire un bon 95C).

Je sens ses tétons se dresser sous son soutien-gorge blanc en dentelle.

 

 

 

 

Doriane se laisse faire...

Puis, tout d'un coup, elle se relève, tout en continuant ses mouvements, et me dit qu'on ne devrait pas continuer ce que l'on fait.

Elle pense que ce n'est pas très bien pour elle (elle a quelqu'un en tête) comme pour moi (j'ai aussi quelqu'un dans mon cœur). Ceci ne l'empêche pas de continuer à se frotter sur moi et de nous embrasser à pleine bouche. 

Ma jeune partenaire finit par se redresser un peu et, à mon grand étonnement, descend ses mains jusqu'à mon jean. 

Je me laisse faire, un peu perturbé par tout ce qui se déroule.

 

 

Elle défait ma ceinture, puis dégrafe mon jean, ce qui a pour effet de soulager mon sexe qui ne tenait plus en place.

Elle me caresse à travers le caleçon et vient se mettre contre moi, sur le côté.

J'en profite pour promener mes mains sur son corps, plus précisément entre ses cuisses. 

 

 

 

Je la sens très chaude et tout son corps semble répondre à mes attentions.

Mes caresses se font de plus en plus précises.

Je déboutonne son pantalon, puis immisce mes doigts sous sa petite culotte. 

Elle frémit lorsque j'atteins ses lèvres brûlantes.

Elle mouille déjà beaucoup.

Autant dire qu'à partir de ce moment-là, plus rien ne nous retient.

 

 

 

 

 

Les vêtements tombent les uns après les autres tout en continuant de se caresser mutuellement. 

Elle me branle vigoureusement pendant que mes doigts titillent son clitoris gonflé de plaisir et que je risque par intermittence un doigt dans son vagin.

Le traitement que l'on s'inflige nous transporte ailleurs. Elle descend progressivement jusqu'à mon entrejambe sans lâcher mon sexe, puis elle le porte doucement à sa bouche.

Elle fait tourner sa langue sur mon gland puis entame un langoureux va-et-vient le long de mon sexe dressé. 

Par moment, elle me léche les testicules et se risque vers mon anus. Pas de doute, cette fille sait faire une fellation.

 

 

 

 

 

Je suis aux anges.

Pendant ce temps, je continue de la caresser de plus en plus vite et ses mouvements de bassin traduisent sans difficulté son plaisir.

Je réussis à rapprocher mon visage de ses cuisses et finis par la diriger au-dessus de moi. Les effluves de son sexe m'enivrent.

 

Je me mets à la lécher, à immiscer ma langue entre ses lèvres, à titiller son clitoris bien gonflé, à darder son anus de ma langue.

 

 Bref, nous sommes partis dans un 69 infernal.

Plus elle me donne de plaisir et plus j'ai envie de lui rendre la pareille ; et vice-versa.

Nos corps se déchaînent l'un contre l'autre.

Sa cyprine me coule sur le visage. Elle ondule du bassin de plus en plus vite et explose sur ma langue et mes lèvres dans un cri de jouissance. 

Dans le même temps, elle accélére ses mouvements de langue et de succion et ne met pas longtemps à me faire jouir dans sa bouche.

Nous sommes tous les deux sous le choc de notre orgasme et complètement inerte pendant quelques minutes.

 

 

 

 

 

L'excitation étant toujours à son comble, elle prend les choses en main et vient s'asseoir lentement sur mon sexe toujours dressé. Je sents son vagin m'enserrer.

Les sensations sont très agréables. 

Me faisant face, j'en profite pour caresser ses hanches, son ventre et sa poitrine.

Ses mouvements de bassin sont de plus en plus précis. Elle prend le contrôle. Elle remonte et redescend le long de mon sexe dans un va-et-vient régulier. Elle contracte ses muscles vaginaux et me laisse sans la moindre possibilité de prendre le dessus. 

Me faire dominer par une jeune femme de 18 ans n'est pas désagréable du tout. 

Elle redescend progressivement son buste contre le mien et elle m'embrasse fougueusement.

Mes mains se promenent sur son dos, puis je les descends lentement vers ses fesses.

Elle continue à onduler du bassin et accélére ses mouvements quand mes doigts trouvent son anus.

 

 

 

 

Je sents son corps trembler, mais elle ne m'empêche pas de continuer mon petit jeu.

Mon index va visiter son anus sans trop de difficultés et elle se plaque contre moi encore plus.

Ses mouvements deviennent désordonnés et elle se met à jouir bruyamment.

 

 Cette situation dure quelques minutes, puis elle se retire et vient se mettre à quatre pattes sur le lit.

Le message est très clair. Elle m'invite à venir la prendre en levrette, ce que je fais sans me faire prier.

Je positionne mon sexe à l'entrée de son vagin et je joue avec ses lèvres intimes et son clitoris.

Soudainement, sans crier gare, ne tenant plus en place, elle donne un violent coup de bassin qui me fait la pénétrer jusqu'à la garde dans un râle de jouissance intense.

Là, elle s'immobilise pour profiter de l'instant.

 

 

 

 

 

Tout doucement, je me mets à bouger en elle, puis de plus en plus violemment. Je suis déchaîné, et Doriane aussi.

La vue que j'ai est imprenable. Ses fesses viennent battre contre mon pubis et mes testicules lui caressent le clitoris à chaque pénétration.

Je reprends comme tout à l'heure, mon petit massage anal et, dès cet instant, elle accompagne de manière plus significative mes mouvements de bassin. 

Nous restons ainsi pendant plusieurs minutes.

Par moment, je sorts mon sexe de son vagin pour le rentrer presque aussi rapidement.

Mes deux mains posées sur ses hanches, Doriane a l'air d'apprécier le traitement que je lui fais subir.

A un tel point que lors d'une de ces pénétrations sauvages, elle s'affalle sur le lit de tout son long, le bassin légèrement relevé.

 

 

 

 

 

 

 

Je me retrouve donc le sexe à l'air, fièrement tendu au-dessus de sa croupe.

Là, à ma grande surprise, elle vient mettre ses mains de chaque côté de ses fesses pour les écarter le plus possible. 

 L'invitation est sans appel. 

Je pose mon gland contre son anus qui n'a aucun mal à s'ouvrir.

Mon sexe pénétre son conduit anal lentement et les ondulations de son corps me laissent penser qu'elle apprécie beaucoup ça. 

Les sensations sont différentes de celles de son vagin. Je sents son sphincter se resserrer par moment.

Doriane glisse l'une de ses mains entre ses cuisses et vient me caresser les testicules qui viennent toujours battre contre ses lèvres. Elle titille son clitoris et se pénétre le minou avec deux doigts.

 

 

 

 

 

 

 

Les mouvements s'accélérent et nous explosons en même temps dans de grands râles de jouissance. Mon sperme vient se répandre dans son anus tout chaud. 

Je me retire et nous nous embrassons fougeusement à pleine bouche, heureux de notre expérience.

Après une rapide toilette intime, nous nous rhabillons et sortons faire un tour en ville avant d'aller rejoindre nos amis dans un café du centre...